Santé, gabegie et malades laissés a l'abandon par le gouvernement Français - 112024
Gabegie, la santé en France va mal :
La baisse du budget de la Sécurité sociale, ainsi que la réduction du nombre de lits et des moyens alloués aux hôpitaux, aux urgences et au SAMU, soulèvent des inquiétudes majeures quant à la qualité des soins dans notre pays. Cette situation met clairement en péril la santé de nos concitoyens. En effet, "on ne peut pas sans cesse faire payer les malades un problème de budget global d'un pays, les citoyens ont droit à être soignés convenablement".
Malgré des taux d'imposition en hausse et une dette souveraine importante, il est essentiel de considérer que les économies réalisées aujourd'hui pourraient entraîner des coûts bien plus élevés à l'avenir. En négligeant les besoins sanitaires de la population, nous risquons d'affronter des crises sanitaires majeures, rendant notre pays incapable de soigner efficacement ses citoyens et de combler les manques matériels et humains qui se creusent.
Le droit à la santé est en réalité déjà financé par l'impôt, et il est impératif que le gouvernement assure et protège ce droit fondamental pour tous. De plus, il est crucial de cesser de fusionner des hôpitaux dans un souci d'économies, car cela réduit la capacité d'accueil et le temps consacré aux soins des urgences et des malades. La gabegie médicale doit prendre fin.
Il est temps de réévaluer les priorités budgétaires pour garantir que chaque citoyen puisse bénéficier d'un accès à des soins de qualité, en évitant de faire attendre parfois 10h aux urgences, c'est une honte, et ceci afin de préserver la santé publique et de prévenir des crises futures. Les choix d'aujourd'hui détermineront la qualité de vie de demain.
D'ailleurs les malades d'aujourd'hui sont aussi les travailleurs d’aujourd’hui, ajouté aux retraités, aux enfants etc... Ne pas apporter du temps et des moyens aux travailleurs malades, blessés, ... est une faute majeure, ne pas apporter les moyens à nos concitoyens c'est voler leurs cotisations salariales et leurs impôts.
TAIR Marc