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État des routes françaises - aggravation en cours - 012025

Publié le par tair marc

État des routes françaises : la baisse des budgets implique une aggravation actuelle, et avec une météo trop humide, la situation risque d'être très visible.

Les routes nationales et départementales vont retrouver une situation déjà connue après la crise des subprimes de 2008/2009, qui avait entraîné une dégradation très grave de l'état des routes en France, avec des voitures subissant des dégâts.

La situation financière en France est plus préoccupante qu'en 2008. On peut donc s'interroger sur la gravité future de l'état des routes et sur le danger auquel sont exposés les conducteurs.

Attention, cette année et dans les années à venir, nous risquons de voir des routes de plus en plus délabrées...

TAIR Marc

État des routes françaises - aggravation en cours - 012025
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L’efficacité de la France face à la narco-criminalité : un audit nécessaire - 012025

Publié le par tair marc

L’efficacité de la France face à la narco-criminalité : un audit nécessaire

La question de l’efficacité de la France pour contrer les conflits armés entre narco-trafiquants est cruciale. La montée de la violence liée au trafic de drogue remet en cause les capacités des forces de l’ordre. Des journalistes de Libération signalent un manque de ressources et de formation adaptées face à des groupes de plus en plus organisés et armés.

Un audit des capacités opérationnelles de la police et de la gendarmerie s’avère indispensable. Cet audit devrait évaluer les moyens humains et matériels ainsi que les stratégies actuelles de lutte contre la narco-criminalité. Des experts du Institut Montaigne recommandent une révision des méthodes pour mieux intercepter les trafiquants.

Sans une évaluation sérieuse et des actions concrètes, la France risque de se retrouver confrontée à une violence incontrôlable, menaçant à la fois la sécurité publique et la cohésion sociale. Il est essentiel que le gouvernement prenne la mesure de cette situation.

TAIR Marc

L’efficacité de la France face à la narco-criminalité : un audit nécessaire - 012025
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Narco-trafique la France est aussi touchée - 012025

Publié le par tair marc

Le Narco-trafique :
 

La narco-criminalité est devenue un fléau majeur du monde moderne, menaçant la sécurité et la stabilité de nombreuses nations, y compris la France. Ce qui est particulièrement préoccupant, c’est que nos gouvernants semblent baisser les bras face à cette situation. En perdant toute initiative, ils se laissent déborder par une montée en puissance des réseaux de trafic de drogues et de la criminalité qui se développent à un rythme alarmant. Selon un rapport du think tank Global Initiative Against Transnational Organized Crime, les cartels de la drogue exploitent les failles des systèmes judiciaires et des forces de l’ordre, rendant la lutte contre ce phénomène toujours plus complexe.

Nous sommes à la veille d'une véritable guerre entre narco-trafiquants, avec des conséquences dévastatrices pour nos sociétés. Les attaques armées liées à ces réseaux criminels augmentent, et l’insécurité s’intensifie dans les quartiers touchés par le trafic. Des journalistes et experts en sécurité, tels que ceux de Le Monde, pointent du doigt le manque de courage politique, ainsi que le refus d'écouter ceux qui vivent sur le terrain. Ces derniers sont les premiers témoins de la gravité du trafic et des tensions croissantes qui en résultent.

Face à cette situation, il est urgent que les gouvernants adoptent une approche proactive, fondée sur une coopération internationale renforcée et une meilleure écoute des acteurs locaux. La lutte contre la narco-criminalité nécessite des moyens humains et financiers adaptés, ainsi qu'une volonté politique affirmée. Si nous continuons à ignorer le problème, nous risquons de voir nos sociétés se dégrader davantage, entraînant une spirale de violence et d'instabilité qui pourrait toucher l'ensemble de l'Europe.

Il est temps d'agir avant qu'il ne soit trop tard. L'heure n'est plus à l'inaction, mais à la mobilisation collective pour contrer ce fléau qui menace notre avenir.

TAIR Marc

Narco-trafique la France est aussi touchée - 012025
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La vérité en Politique - 012025

Publié le par tair marc

La vérité en Politique - 012025

En Politique la vérité n'est pas toujours celle qui parait et moins encore celle qu'on nous explique !

 

Cherchez vous même l'information, recoupez et accepter les informations qui dérangent, celle-ci aussi doivent être vérifié, parfois on est étonné de voir ce qui est véritable en Politique. La manipulation n'est jamais loin et ce qui est répété n'est pas toujours vérité.

 

TAIR Marc

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George Soros : un homme d'influence aux visages multiples et à l'ombre inquiétante - 012025

Publié le par tair marc

George Soros : un homme d'influence aux visages multiples et à l'ombre inquiétante

George Soros, est un milliardaire américain philanthrope, est un personnage qui suscite des sentiments ambivalents à l'échelle mondiale. Avec une fortune estimée à 25 milliards de dollars, il consacre une grande partie de ses ressources à promouvoir des idées très libérales via l’Open Society Foundations (OSF), un réseau philanthropique qui finance des ONG dans plus d'une trentaine de pays que l'ont pourrait appeler du lobbying. Cependant, cette influence est souvent controversée, mêlée à des accusations de manipulation et d'ingérence dans les affaires politiques et judiciaires sur des affaires concrètes.

Un parcours marqué par l'adversité

Né à Budapest en 1930 dans une famille juive, Soros a vécu des événements tragiques qui ont profondément influencé son engagement ultérieur pour les droits de l'homme et la démocratie. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a survécu à l’occupation nazie, une expérience qui a façonné sa vision du monde et son désir d'encourager la démocratie. Soros s'installe à Londres, puis aux États-Unis, où il devient un investisseur renommé, surtout connu pour avoir "cassé la Banque d’Angleterre" en 1992, un acte qui a renforcé son image de spéculateur.

Un homme aux stéréotypes multiples

Soros est souvent décrit à travers un prisme de stéréotypes contradictoires. D'un côté, il est perçu comme un "vautour" du capitalisme vu sa manière de faire du profit, exploitant les faiblesses systémiques pour s’enrichir, tandis que de l'autre, il est vu comme un "Robin des Bois" moderne, qui utilise sa fortune pour soutenir des causes libérales.

Lors d'un sommet à Davos en 2019, Soros a mis en garde contre le régime chinois, le qualifiant de "plus grand ennemi de la société ouverte", ce qui a engendré des réactions mitigées, allant de l'approbation à l'indignation. Ses discours et actions continuent de susciter des débats passionnés, souvent teintés de controverses liées à son statut de figure publique.

Soros plusieurs fois invité à Davos pour évoqué les dangers climatiques et environnementaux est aussi lié aux industries, à travers son fonds Soros Fund Management, a investi dans plusieurs entreprises innovantes axées sur l'environnement et les énergies renouvelables. Parmi ses investissements notables figurent Tesla, un leader dans les véhicules électriques, et Sunrun, spécialisée dans l'énergie solaire résidentielle. Il a également soutenu NextEra Energy et First Solar, qui se concentrent sur l'énergie éolienne et solaire. ChargePoint, fournisseur d'infrastructures de recharge pour véhicules électriques, fait également partie de son portefeuille. Ces investissements reflètent son engagement en faveur d'un avenir durable et d'un développement technologique responsable.

L'influence néfaste sur les institutions

L'une des critiques les plus graves formulées à l'encontre de Soros concerne son influence sur la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Un rapport de l'European Centre for Law and Justice (ECLJ) a révélé que 22 des 100 juges ayant siégé entre 2009 et 2019 avaient des liens directs avec des ONG financées par Soros. Sur cette période, ces juges ont été impliqués dans des affaires concernant les ONG pour lesquelles ils avaient travaillé, créant des conflits d'intérêts évidents. Cela soulève des questions inquiétantes sur l'impartialité de la CEDH, qui est censée être un pilier de la justice en Europe.

Les révélations de l'ECLJ ont été accueillies avec colère par les dirigeants de la CEDH, qui ont choisi de ne pas commenter publiquement ces accusations, cherchant plutôt à minimiser la situation. D’ailleurs, plusieurs initiatives ont été mises en place pour examiner les conflits d'intérêts, mais les résultats demeurent décevants.

Cette emprise sur la CEDH et d'autres institutions internationales illustre comment Soros et ses réseaux peuvent manipuler les systèmes politiques et juridiques pour promouvoir leurs intérêts, souvent au détriment de l'indépendance et de l'intégrité des institutions. Des voix politiques, comme celles de Marine Le Pen et François-Xavier Bellamy, ont dénoncé cette "corruption des élites", suggérant que la situation est plus alarmante qu'elle ne paraît.

George Soros, à travers son réseau de fondations, en particulier l'Open Society Foundations (OSF), a établi des liens avec des députés européens et des institutions de l'Union européenne (UE) pour promouvoir des politiques et des initiatives alignées avec ses valeurs de démocratie, de droits de l'homme et de société ouverte.

  • Gérard Leclerc

    • Journaliste français qui a exprimé des réticences à l'égard du pouvoir d'influence de Soros, en particulier dans le cadre des débats sur la migration et les politiques libérales en Europe.

     

  • David Marcus

    • Journaliste et rédacteur en chef de plusieurs médias, il a aussi critiqué Soros pour son soutien à des ONG qu'il perçoit comme influençant négativement les politiques nationales en Europe.

     

  • Terry O'Neill

    • Un journaliste britannique qui a écrit sur la façon dont les contributions de Soros à certaines ONG et mouvements peuvent être perçues comme une tentative de manipulation politique.

     

Conclusion : une vigilance nécessaire

George Soros représente une figure névralgique de notre époque, dont l'engagement pour une société ouverte soulève des questions fondamentales sur le pouvoir des philanthropes dans le monde moderne. Son parcours, son influence et son lobbying dans diverses institutions montrent comment un individu peut façonner le débat public, mais aussi comment il peut manipuler les structures en place pour atteindre ses objectifs.

En somme, la complexité de George Soros, entre philanthrope engagé et manipulateur, souligne la nécessité d'une vigilance accrue face aux puissances économiques et idéologiques qui cherchent à façonner les sociétés contemporaines. Les enjeux liés à son activisme et à son influence sur les institutions juridiques sont des signes alarmants d'une dérive qui mérite d'être scrutée de près, car elle questionne l'intégrité même des systèmes démocratiques que Soros prétend soutenir.

Peut-on et doit-on donc s’inquiéter qu'une personne ayant des actifs dans un environnement liés a l’électrique influence pour son propre intérêt pour favoriser son business plan et ses intérêts financiers et d'autres sujets clivants comme des sujets sur le genre et autre ?

Pour votre recherche :

  1. Le Figaro (France) - Ce quotidien français a publié plusieurs articles sur George Soros, notamment en lien avec ses investissements et ses contributions à des ONG, en abordant les accusations d'influence politique.

  2. Die Welt (Allemagne) - Ce journal allemand a également couvert les controverses entourant Soros, en examinant son impact sur les politiques migratoires et les débats sur les valeurs démocratiques en Europe.

  3. Corriere della Sera (Italie) - Ce journal italien a évoqué les critiques de Soros, notamment en ce qui concerne son influence présumée sur les politiques en Europe et son soutien à des causes libérales.

TAIR Marc

George Soros : un homme d'influence aux visages multiples et à l'ombre inquiétante - 012025
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Les années 1980 : Une décennie climatique contrastée - 012025

Publié le par tair marc

Les années 1980 : Une décennie climatique contrastée

La décennie des années 1980 est souvent évoquée pour ses variations climatiques marquées, qui ont profondément influencé les conditions de vie, l'agriculture, et même certaines innovations sportives. Cette période se divise en deux phases distinctes : une première moitié chaude et douce, suivie d'une seconde moitié froide et rigoureuse.

Période chaude (1979-1984)

Au début des années 1980, de nombreuses régions, notamment en Europe, ont connu des hivers relativement doux, avec des températures souvent au-dessus des moyennes saisonnières. Ce phénomène a entraîné un manque de neige dans des zones traditionnellement hivernales, comme à Paris, où la Seine et les canaux ont conservé leur liquidité. L'été 1983, en particulier, a été marqué par des vagues de chaleur, établissant des records de température dans plusieurs villes européennes. Ce climat doux a favorisé des activités de plein air, mais a aussi suscité des préoccupations concernant les impacts à long terme sur l'environnement.

Dans les Alpes, cette période chaude a altéré les conditions de ski. Les domaines skiables ont souvent souffert d'un manque de neige, forçant certaines stations à fermer ou à limiter leurs activités. Les skieurs ont dû se contenter de conditions moins idéales, et l'absence de neige a conduit à des innovations telles que l'utilisation de neige artificielle, qui a commencé à se développer à cette époque.

Période froide (1985-1989)

À partir de 1985, les hivers se sont radicalement transformés, marquant l'arrivée d'une période plus froide et rigoureuse. Les hivers de 1986-1987 ont été particulièrement notables, avec des chutes de neige importantes et des températures sévères. En janvier 1987, la Seine et certains canaux de Paris ont même gelé, un événement rare qui a eu des répercussions sur la circulation et les activités quotidiennes. Ces conditions hivernales rigoureuses ont rappelé à la population les aléas climatiques, marquant une transition frappante par rapport aux hivers doux de la première moitié de la décennie.

Dans les Alpes, cette période froide a été accueillie avec soulagement par les stations de ski, qui ont vu des chutes de neige abondantes et un retour à des conditions hivernales classiques. Les paysages enneigés ont attiré les amateurs de ski, et les stations de ski ont prospéré grâce à des conditions parfaites, permettant aux skieurs de profiter pleinement des pistes. Les températures plus froides ont également favorisé la pratique des sports d'hiver, renforçant l'attrait des Alpes comme destination touristique hivernale.

Innovations sportives

L'absence de neige pendant cette période douce a également inspiré des innovations sportives. C'est durant ces années que le VTT (vélo tout terrain) a commencé à gagner en popularité, permettant aux amateurs de cyclisme de profiter des paysages même lorsque les conditions hivernales rendaient les terrains de ski inaccessibles. De plus, le ski sur gazon a été développé comme un moyen alternatif de pratiquer le ski en été, transformant ainsi des espaces verts en pistes de glisse.

Températures moyennes

Les températures moyennes durant cette décennie ont varié :

  • Première moitié (1979-1984) : Les hivers étaient généralement doux, avec des moyennes autour de 5°C à 10°C dans certaines régions, tandis que les étés pouvaient atteindre des températures maximales de 30°C et au-delà.
  • Seconde moitié (1985-1989) : Les hivers ont durci, avec des températures pouvant descendre en dessous de 0°C, et des étés plus modérés avec des températures autour de 25°C à 30°C.
Ressources pour des données historiques

Pour obtenir des informations plus détaillées sur la météo des années 1980, vous pouvez consulter les ressources suivantes :

  • Météo France : Le site officiel propose des archives météorologiques et des rapports climatiques historiques.
  • NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) : Cette organisation dispose de bases de données climatiques mondiales qui incluent des informations historiques.
  • Institut Pierre-Simon Laplace : Ce centre de recherche en climatologie offre également des études sur les changements climatiques passés.
Un contraste bien marqué :

Les années 1980 ont été une période fascinante d'observation climatique, marquée par des contrastes extrêmes entre chaleur et froid. Ces fluctuations ont eu des impacts significatifs sur les conditions de vie, le tourisme dans les Alpes, et ont même donné naissance à des innovations sportives comme le VTT et le ski sur gazon. Ces événements sont des rappels puissants de la variabilité naturelle du climat et de son influence sur notre société. Si vous souhaitez approfondir certains aspects, n'hésitez pas à poser d'autres questions.

TAIR Marc

Publié dans actualités, ecologie

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La charge mentale, conception contestée - 012025

Publié le par tair marc

La Charge Mentale : Une Conception Contestée Sans Fondement Psychologique Solide

La notion de "charge mentale" a émergé ces dernières années comme un terme clé pour décrire le poids psychologique associé à la gestion des responsabilités domestiques et familiales, souvent attribué aux femmes. Malgré que des évolutions dans les couples ont marqué leur temps. Bien que cette idée ait trouvé un écho dans les discussions sur l'égalité des sexes et la dynamique familiale, elle fait l'objet de critiques substantielles, remettant en question son fondement psychologique et son utilité dans le débat public.

Des experts comme le psychiatre Christophe André soulignent que la charge mentale peut parfois trop se concentrer sur des préoccupations individuelles, sans tenir compte des dynamiques de couple et des arrangements qui existent au sein des foyers. Selon lui, réduire le phénomène à une simple étiquette peut nuire à une compréhension plus nuancée des relations familiales et des responsabilités partagées.

Élisabeth Badinter, philosophe et féministe, critique l’approche contemporaine qui entoure la notion de charge mentale, arguant qu'elle peut renforcer des stéréotypes et détourner l'attention des véritables enjeux de l'égalité des sexes. Elle met en avant l'idée que la discussion sur la charge mentale pourrait masquer les problèmes structurels et économiques qui alimentent les inégalités entre les sexes, nécessitant ainsi une approche plus globale.

De plus, Brigitte Grésy, ancienne haute fonctionnaire et auteur sur l'égalité femmes-hommes, exprime des réserves quant à la conception actuelle de la charge mentale. Elle affirme que, si la notion peut contribuer à changer la perception des responsabilités domestiques, elle ne doit pas faire oublier les dimensions économiques et sociales qui sous-tendent ces questions. En effet, la charge mentale pourrait être perçue par certains comme une simplification excessive de la complexité des arrangements familiaux.

Dans les médias, des articles publiés dans des journaux comme Le Figaro et L'Express ont également critiqué le terme "charge mentale", le qualifiant de mode qui ne rend pas justice à la réalité des défis d'égalité. Ces critiques soulignent l'importance de maintenir un débat nuancé sur les responsabilités familiales, plutôt que de se limiter à des étiquettes qui pourraient masquer des problèmes plus profonds.

Bien que la charge mentale soit reconnue par de nombreuses personnes comme un concept pertinent pour exprimer une expérience vécue, il est crucial de s'interroger sur son fondement psychologique. Les critiques de cette notion soulignent la nécessité d’une approche holistique qui tient compte des dynamiques de pouvoir, des inégalités économiques et des structures sociales qui influencent la répartition des responsabilités au sein des foyers. Ce débat ne doit pas être réduit à une simple question de charge psychologique, mais doit plutôt engager une réflexion sur les véritables enjeux de l'égalité entre les sexes et sur les réformes nécessaires pour améliorer la situation.

TAIR Marc

La charge mentale, conception contestée - 012025

Publié dans société

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Charlie Hebdo - Hyper Casher - 7 janvier le jour d'un attentat - 012025

Publié le par tair marc

Il y a huit ans, le 7 janvier 2015, la France pleurait les victimes de l'attentat contre Charlie Hebdo, un acte ignoble qui a profondément choqué notre nation et résonné au plus profond de nous même et au-delà de nos frontières.

Ce jour-là, un cri d'indignation a ébranlé la société française, un appel à défendre la liberté d'expression d'abord et à lutter contre le fanatisme. Pourtant, force est de constater qu'aujourd'hui, ce cri semble s'être estompé et que l'indignation s'est muée en un silence gêné. La liberté de s'exprimer est encore sur la sellette et le danger reste présent. Les évolutions législatives qui en ont découlé, bien que nécessaires et légitimes, apparaissent comme des mesures cosmétiques face à une réalité bien plus sombre.

La volonté politique, en particulier celle du Président de la République, semble vaciller sans sa volonté forte rien ne pourra être fait. Les discours se multiplient, les promesses s'accumulent, mais la véritable action se fait attendre : celle du Politique. L'inaction face à l'influence croissante des idéologies radicales et la banalisation des discours de haine est devenue la norme. Les "fréristes" continuent à répandre leur dogme, infiltrant une jeunesse en quête d'identité et souvent perdue.

Pendant ce temps, d'autres influenceurs déversent leur venin, attisant les tensions et alimentant une rancœur qui menace nos valeurs républicaines. Dans les rues de nos villes, la dangerosité s'est aggravée. Les mots "sentiment d'insécurité" prononcés par certains politiciens témoignent d'un décalage alarmant entre la réalité vécue par les Français et la perception de nos gouvernants.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes, mais il semble que leurs oreilles soient bouchées par un confort politique pour une réélection sans vague qui les éloigne du quotidien des citoyens. Et que dire de l'antisémitisme qui, loin de reculer, évolue et se manifeste avec une inquiétante audace ?

Les Juifs, qui devraient se sentir protégés dans un pays qui a connu l'horreur de la Shoah, se retrouvent aujourd'hui plus que jamais en danger. Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher ne sont pas des souvenirs lointains ; ils sont des rappels constants de la nécessité de rester vigilants face à la montée de la haine. Les leçons du passé semblent avoir été oubliées, emportées par un flux d'indifférence ou de déni. Le pas de vague est en vogue.

Il est temps de réveiller la mémoire collective et de raviver la flamme de la solidarité. La lutte contre le radicalisme et la haine ne doit pas être une simple déclaration d'intention, mais un engagement réel et constant.

La France mérite mieux qu'un simple souvenir de Charlie Hebdo ; elle mérite une action politique forte venant des plus hautes sphères dirigeantes, une volonté de défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité, ainsi qu'au droit à la sécurité.

Les enjeux sont clairs, et il est impératif de les aborder sans détour. Le silence n'est pas une option, et il est grand temps que la classe politique prenne conscience de l'urgence de la situation.

TAIR Marc

Charlie Hebdo - Hyper Casher - 7 janvier le jour d'un attentat - 012025

Publié dans société

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Le général de Gaulle et le journal le Monde, une affaire de liberté d'expression et crispation - 012025

Publié le par tair marc

Le Journal le Monde et le Général de Gaulle, un désamour marqué de liberté d'expression :

Le journal français Le Monde, fondé le 19 décembre 1944 par Hubert Beuve-Méry, a émergé dans un contexte de reconstruction après la Seconde Guerre mondiale. Le général Charles de Gaulle, en tant que figure emblématique de la France d'après-guerre, a joué un rôle déterminant dans l'histoire de ce quotidien. Il souhaitait que Le Monde devienne un acteur majeur de l'information, promouvant ainsi l'indépendance et la qualité du journalisme.

De Gaulle tenait en haute estime la liberté d'expression et la pluralité des opinions. Bien qu'il ait parfois eu des désaccords avec certaines critiques publiées dans Le Monde, il n’a jamais cherché à censurer le journal. Au contraire, il croyait fermement qu'un débat ouvert et diversifié était essentiel pour une démocratie saine, reconnaissant ainsi l'importance d'une presse indépendante comme un contre-pouvoir. Cette vision a permis à Le Monde de diffuser une pluralité d'idées, même celles en désaccord avec le pouvoir en place.

Il est également important de noter qu’Hubert Beuve-Méry a été en danger de mort en raison de son engagement dans la Résistance française. En tant que journaliste, il jouait un rôle actif dans la lutte contre l'occupation nazie, ce qui lui a valu d'être ciblé à la Libération. Grâce à l’intercession de de Gaulle, qui reconnaissait la valeur de son travail pour la démocratie et les droits de l'homme, Beuve-Méry a été protégé, lui permettant ainsi de fonder Le Monde.

En résumé, la relation entre le général de Gaulle, Le Monde, et la liberté d'expression illustre une période charnière de l'histoire française, où le soutien à une presse indépendante et à un débat pluraliste est devenu essentiel pour la démocratie. Cette dynamique a permis à Le Monde de s'imposer comme un vecteur d'informations variées et critiques, fondamental dans le paysage médiatique français.

On pourrait faire un retour sur la période que nous vivons de nos jours, car la liberté d'expression est parfois en danger en notre pays, les journaux en désaccord avec le pouvoir sont souvent gêné et marqués "complotistes" ce qui implique en finalité une seul pensée qui est diffusée, la pensée unique est la norme. Les autres opinions sont stigmatisées, contrées voire empêchées.

Un peu de Gaullisme aujourd'hui rendrait un peu plus de place à la liberté d'expression, cette liberté démontre une intelligence : celle d'accepter l'avis des autres sans y adhérer voir même être vraiment contre. La pluralité d'expression est une richesse que la France a perdue.

TAIR Marc

Le général de Gaulle et le journal le Monde, une affaire de liberté d'expression et crispation - 012025

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EDF ne favorise pas ses usagers - une strategie a l'international pour le bénéfice - 012025

Publié le par tair marc

La Stratégie Énergétique de la France : Entre Exportation et Consommation Locale

La situation énergétique en France soulève des interrogations légitimes sur les priorités d'EDF et les impacts sur les consommateurs français. Avec un surplus de production d'électricité, notamment grâce à son parc nucléaire, la France a tout intérêt à vendre à ses voisins européens plutôt qu'à se concentrer sur la consommation intérieure le prix y diffère sensiblement. Cette stratégie crée une tension sur la production d'électricité en France, qui ne provient pas uniquement de la demande des usagers nationaux.

En 2023, la France a connu des niveaux sans précédent d'exportation d'électricité vers ses voisins, un fait qui témoigne de la capacité d'EDF à générer des surplus significatifs. Dans ce contexte, EDF encourage régulièrement ses usagers à réduire leur consommation, en partie pour maximiser les quantités d'électricité disponibles à l'exportation. Avec les compteurs Linky, la gestion de la consommation peut être ajustée à distance, permettant de diminuer la consommation locale lors des périodes de tension sur le réseau et d'éviter une surcharge sur réseau.

Si EDF a réussi à vendre plus d'électricité à l'étranger en 2023, il serait logique d'attendre une baisse sensible des factures des usagers français. Pourtant, la réalité est différente. Les consommateurs continuent de faire face à des prix élevés, malgré le surplus d'exportation. Ce paradoxe soulève des questions sur la transparence des tarifs et la justification des coûts pour les usagers.

Des centrales et un réseau payé par l'impôt par les Français, ce qui implique que ce sont les Français qui doivent profiter des fruits du succès et des bénéfices.

De plus, l'entretien des infrastructures électriques, notamment des câbles dans les zones rurales, laisse à désirer. Cela constitue une faute qui pourrait aggraver la situation pour les consommateurs, qui doivent supporter non seulement des factures élevées, mais aussi une fiabilité du service questionnable.

Dans l'ensemble, la stratégie d'EDF, qui favorise partiellement l'exportation au détriment de la consommation locale, pose un problème de cohérence. Les usagers français, qui contribuent à la production d'électricité, devraient voir les effets positifs de cette exportation se refléter sur leurs factures. Il est essentiel que les politiques énergétiques s'alignent sur les intérêts des consommateurs tout en garantissant la fiabilité de l'approvisionnement électrique sur l'ensemble du territoire. Une réévaluation de la stratégie d'EDF pourrait ainsi permettre de mieux répondre aux besoins des usagers tout en préservant l'intégrité du réseau électrique français.

TAIR Marc

EDF ne favorise pas ses usagers - une strategie a l'international pour le bénéfice - 012025
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