Évolution du travail des médecins : un dilemme entre qualité de vie et santé publique - 032025
Au fil des décennies, la profession médicale a subi une transformation notable. Autrefois, les médecins exerçaient souvent six jours par semaine, s'engageant pleinement dans la prise en charge de leurs patients au détriment de leur vie personnelle parfois. Aujourd'hui, en moyenne, la plupart des praticiens travaillent entre trois et quatre jours par semaine, entraînant une réduction significative de leurs heures de travail. Cette évolution, bien que bénéfique pour l'équilibre vie professionnelle-vie personnelle des médecins, soulève des questions cruciales sur l'impact sur les soins aux patients.
Les médecins d'aujourd'hui, face à des exigences croissantes en matière de qualité de vie et de temps personnel, semblent parfois privilégier leur bien-être et leur rémunération au détriment de la disponibilité pour leurs patients, un dilemne difficile a trancher. Ainsi, le manque de médecins traitants aussi du à une vague de départ en retraite, s'est accentué, rendant difficile l'accès aux soins pour de nombreux patients. Ce phénomène pose un problème de santé publique, surtout en période d'épidémies ou lors de crises sanitaires, où un suivi médical rigoureux est indispensable.
Bien que cela touche toute la population, les 1ers à subir son les personnes âgées, les enfants et nourrissons, et les malades longue durée. Une difficulté qui c'est accentué depuis 2 ans.
Ce texte n'est pas pou jeter le pierre sur les médecins mais pour poser le doigt sur un problème majeur, le droit au soin de chacun face au droit a une vie personnelle des médecins et le manque de médecins. Un sujet d'importance de service public aux patients.
Les conséquences de cette évolution sont préoccupantes. La diminution du nombre de médecins et leur disponibilité réduite peuvent compromettre la continuité des soins et le suivi des maladies chroniques. De plus, le rôle social et déontologique des médecins en tant qu'agents de service public est mis à l'épreuve. Bien qu'ils exercent souvent en tant qu'indépendants, il est essentiel de rappeler que leur vocation première est de servir la population. C'est un métier sacré et bénéfique à la population.
Il est urgent de repenser la formation des médecins en intégrant une dimension de service public et de bien public, plus prononcée, afin de favoriser un engagement durable envers la santé de la population. En effet, la résilience et la volonté d'aider est le cœur de la pratique médicale.
Je pense que je vais fâcher par ce que j'ai déjà écris, mais nous n'oublions pas que pour beaucoup la médecine un acte de foi, une volonté d'apporter aux autre, ce qui n’empêche pas d'évoquer les choses qui gênes dans le doit à la santé qui de nos jours a cause aussi d'une politique qui n'a pas voulu appréhender la baisse du nombre de médecins qui exerce, crée un problème à la population qui a droit à la santé.
TAIR Marc