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Énergie Électrique en France - Les clients Français se sont fait voler - 122024

Publié le par tair marc

Énergie Électrique en France : Évolution des Prix en France et Exportations vers l'Allemagne

L'énergie électrique en France est un sujet d'actualité qui soulève de nombreuses questions, notamment en ce qui concerne son prix et son impact sur les ménages français.

En 2023, le prix de l'électricité a atteint environ 0,20 à 0,25 € par kilowatt-heure (kWh), en forte augmentation par rapport à 2013, où il se situait autour de 0,12 à 0,15 € par kWh.

En 2003, le prix était encore plus bas, autour de 0,08 à 0,10 € par kWh. Ainsi, en 20 ans, les ménages français ont vu leurs factures d'électricité multiplier par plus de trois, passant d'environ 50-70 € par mois à plus de 150 € en 2023.

Contexte de la Transition Énergétique

Durant la période de la pandémie de COVID-19 et en raison de la guerre en Ukraine, l'Allemagne a dû intensifier ses importations d'électricité, notamment en provenance de France. En raison de sa dépendance au gaz et au charbon russes, Berlin a cherché à diversifier ses sources d'énergie, et la France, avec sa forte capacité de production nucléaire, est devenue un fournisseur clé.

Chiffres Clés sur les Exportations

Selon des rapports médiatiques, en 2022, la France a exporté environ 60 TWh d'électricité vers l'Allemagne, soit près de 10 % de la consommation totale d'électricité allemande. En période de forte demande en Allemagne, la France a souvent fourni de l'électricité à des coûts qui, bien qu'en augmentation, restaient souvent plus compétitifs que ceux du marché allemand en période de crise énergétique. En avril 2023, les prix de l'électricité en Allemagne étaient même supérieurs de 30 euros par mégawattheure (MWh) en moyenne à ceux enregistrés en France.

Impact sur les Ménages Français

Cette dynamique soulève des préoccupations quant à la situation des consommateurs français. Ce sont les Français qui ont financé, par leurs impôts, la construction des centrales nucléaires et qui se retrouvent maintenant à payer au prix fort.

Alors que les Français ont financé des infrastructures nucléaires avec la promesse d'une énergie bon marché, ils se retrouvent désormais à payer des tarifs élevés, alors que leur électricité est exportée à des tarifs préférentiels à l'Allemagne.

D'ailleurs une énergie peu cher est utile pour l'industrie Française qui pourra exporter a meilleur prix en étant plus compétitif.

Conclusion

La situation actuelle de l'énergie électrique en France, ainsi que l'exportation vers l'Allemagne, soulève des questions importantes sur la justice sociale et économique. Les décisions politiques et les accords énergétiques pris durant cette période devront être réévalués pour protéger les intérêts des consommateurs français. La nécessité d'une approche équilibrée et équitable pour le marché de l'énergie devient de plus en plus pressante.

TAIR Marc

Énergie Électrique en France - Les clients Français se sont fait voler - 122024
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Jean-Jacques Rousseau - La liberté - TAIR Marc - 112024

Publié le par tair marc

Liberté de pensée et le droit de ne pas faire ce que l'on ne veut pas faire :
 
Jean-Jacques Rousseau, philosophe du XVIIIe siècle, a beaucoup réfléchi à la question de la liberté dans ses œuvres, en particulier dans le "Contrat social". Rousseau défendait l'idée que la véritable liberté réside dans la capacité de chacun à agir selon sa volonté, sans être contraint par des forces extérieures.
De nos jours sa pensée est très actuelle et incarne le dilemne de notre société.
 
Pour Rousseau, la liberté ne se limite pas simplement à faire ce que l'on veut, mais elle implique aussi le fait de ne pas être obligé de faire ce que l'on ne veut pas faire. Il insiste sur le fait que l'homme est naturellement libre, mais qu'il doit souvent renoncer à cette liberté en raison des contraintes sociales et politiques. Dans "Le Contrat social", il introduit le concept de la "volonté générale", qui représente l'intérêt commun et auquel chaque individu doit se soumettre pour préserver la liberté collective.
 
Rousseau prône l'idée que l'individu doit s'engager dans un contrat social, où il accepte de limiter sa propre liberté pour le bien de la communauté, tout en garantissant que cette structure ne doit pas annihiler sa liberté naturelle. En d'autres termes, il plaide pour une forme de liberté collective qui respecte la volonté de chacun et qui permet à l'individu de vivre en harmonie avec les autres.
 
La liberté de chacun s'arrête là ou commence celle des autres !
 
Ainsi, pour Rousseau, la liberté authentique n'est pas seulement l'absence de contraintes, mais aussi l'existence d'un cadre social juste qui permet à chaque individu de réaliser son potentiel tout en respectant celui des autres. Cette vision de la liberté a eu une influence profonde sur la pensée politique et sociale moderne.
« L'homme est né libre, et partout il est dans les fers. »
 
Cette citation provient de son œuvre majeure, "Du Contrat social", publiée en 1762. Cette phrase illustre l'idée que, bien que l'homme naisse avec une liberté naturelle, il est souvent contraint par les institutions sociales et politiques qui l'entourent. Rousseau explore la tension entre la liberté individuelle et les contraintes imposées par la société, et il propose une vision d'un contrat social qui vise à rétablir la véritable liberté des individus au sein de la collectivité.
 
Sujet philosophique qui ce heurte à la réalité d'une société qui suit une logique d'interdits et de contraintes toujours plus présent, lorsque le problème est certainement l'éducation pour admettre une liberté collective qui dit que l'ont doit accepter le bien collectif sans contrainte, pour respecter son voisin.
 
TAIR Marc
Jean-Jacques Rousseau - La liberté - TAIR Marc - 112024

Publié dans actualités, société

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Cyclistes - accident de la route - Ont-ils une responsabilité ? - 112024

Publié le par tair marc

Accidents de Cyclistes : Une Réflexion Urgente sur la Sécurité Routière devrait être faite.

La problématique des accidents de cyclistes est de plus en plus préoccupante, avec une augmentation significative des cas liés à des usagers en état d'ébriété. Si les automobilistes sont souvent désignés comme les principaux responsables de ces incidents, il est essentiel de prendre en compte que de nombreux accidents impliquent des cyclistes qui, par négligence, enfreignent le code de la route.

Les statistiques montrent que beaucoup de ces accidents surviennent sans intervention d'un autre véhicule, ou impliquent seulement d'autres cyclistes. Dans ces situations, il est crucial de ne pas systématiquement accuser les automobilistes, mais plutôt d'examiner le comportement des cyclistes eux-mêmes. L'alcool, souvent en jeu, altère considérablement leurs réflexes et leur capacité à évaluer les risques, ce qui augmente le nombre de chutes dramatiques.

Le docteur Christophe Cermolacce, chirurgien orthopédiste à l’Institut de la cheville et du pied à Paris, alerte sur les conséquences sévères que peuvent subir les cyclistes après un accident. Les traumatismes crâniens, les torsions, les luxations et les fractures sont des blessures courantes qui peuvent avoir des impacts durables sur la vie des victimes. Comme il le souligne, ces accidents peuvent entraîner des séquelles qui affecteront les patients bien avant l'âge de 50 ans, avec des interventions chirurgicales, parfois lourdes, comme des prothèses ou des blocages articulaires.

Il est donc urgent que ce phénomène soit pris en compte dans le débat public et politique. Les pouvoirs publics doivent promouvoir des campagnes de sensibilisation sur les dangers de la conduite à vélo sous l'influence de l'alcool et sans respect du code de la route. Des mesures plus strictes concernant le comportement des cyclistes et une meilleure éducation au code de la route pourraient réduire le nombre d'accidents et protéger les usagers vulnérables, l'usage d'un deux roue a ce jour n'est pas lié à la connaissance du code.

De plus, il est nécessaire de renforcer la coopération entre les différents acteurs de la sécurité routière, afin de développer des solutions efficaces et adaptées. La responsabilisation des cyclistes doit devenir une priorité, tout comme l'amélioration de l'infrastructure routière pour garantir la sécurité de tous les usagers, qu'ils soient en voiture, à vélo ou à pied.

Il existe a Paris des rues exclusives au vélo mais même là il y a de nombreux accident de cyclistes.

Dans cette optique, il est vital d'informer et d'éduquer les cyclistes sur les risques associés à l'alcool et sur les comportements sûrs à adopter. Seule une action collective et coordonnée pourra permettre de faire face à ce problème croissant et de préserver la sécurité de tous sur la route.

TAIR Marc

Cyclistes - accident de la route - Ont-ils une responsabilité ? - 112024
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Incident à la SNCF : Un Manque de Responsabilité et de Respect - 112024

Publié le par tair marc

Incident à la SNCF : Un Manque de Responsabilité Inacceptable envers les Voyageurs.

Ma petite colère du jour sur un service public mal fait ... apporter une réponse et aides lors d'un incident est primordial, les cadres de la Sncf, les Responsables n'en ont rien a faire semble t'il, ce qui nuit à l'image de tout un personnel.

Ce vendredi 29 novembre, un TGV Ouigo reliant Paris à Toulouse a été bloqué pendant plus de sept heures à Marmande (Lot-et-Garonne) après avoir heurté une voiture à un passage à niveau. Cette situation a laissé 900 passagers sans eau ni nourriture, suscitant une indignation légitime face à l'absence de soutien de la part de la SNCF.

Lorsque des incidents de cette gravité se produisent, la responsabilité de la SNCF envers ses clients voyageurs est primordiale. En cas de blocage prolongé, il est essentiel que la compagnie assure un minimum de confort et de sécurité. Cela inclut la fourniture de nourriture, de boissons et de soins pour les passagers, qui se retrouvent dans une situation difficile, souvent sans accès à des ressources de base.

Le manque d'assistance durant cet incident est non seulement une faute de la part de la SNCF, mais également un non-respect flagrant envers ses clients. Une telle négligence peut avoir des conséquences graves, notamment pour les passagers vulnérables, comme les personnes âgées ou les jeunes enfants, qui ont des besoins spécifiques.

Face à ce type de situation, il serait judicieux que la SNCF désigne un responsable régional pour coordonner l'acheminement de ravitaillement et encadrer les aides nécessaires. Une meilleure organisation et une réactivité accrue permettraient d'éviter que des voyageurs se retrouvent abandonnés et sans nouvelles, comme cela a été le cas.

La SNCF doit prendre conscience de sa responsabilité envers ses clients et mettre en place des mesures adaptées pour garantir leur bien-être, même en cas d'incident imprévu. La confiance des voyageurs repose sur la capacité de la compagnie à gérer efficacement des situations d'urgence et à assurer leur confort en toutes circonstances.

Il est temps que la SNCF prenne ces préoccupations au sérieux et améliore son dispositif d’assistance pour éviter que de tels incidents ne se reproduisent à l'avenir. Les voyageurs méritent bien mieux que ce qu'ils ont expérimenté lors de cet événement malheureux.

Incident à la SNCF : Un Manque de Responsabilité et de Respect - 112024

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La France Insoumise en Danger ? Inquiétude d'un déclassement politique - 112024

Publié le par tair marc

La France Insoumise en Danger : L'inquiétude d'un Déclassement Politique

La France Insoumise (LFI), sous la direction de Jean-Luc Mélenchon, se trouve à un tournant décisif alors que des discussions se profilent au sein de la gauche française pour une éventuelle candidature unique aux prochaines élections. Le Parti Socialiste (PS), en quête de rétablir son influence, envisage une stratégie qui pourrait marginaliser LFI, suscitant une véritable colère au sein du mouvement insoumis. Un colère doublée d'une inquiétude réelle.

Dans ce contexte de tensions croissantes, Jean-Luc Mélenchon a proposé une alternative audacieuse : la formation d'une "union des gauches" avec un candidat LFI en tête. Cependant, cette stratégie apparaît plus comme une tentative désespérée de maintenir la pertinence de LFI dans un paysage politique en mutation, où la peur d'un déclassement électoral devient de plus en plus palpable.

Les membres de LFI craignent réellement que leur mouvement, qui a su mobiliser une base électorale significative lors des dernières élections, ne soit relégué au second plan par une manœuvre qui pourrait redéfinir la gauche sans leur participation. Cette inquiétude ne repose pas seulement sur des considérations de pouvoir, mais sur une crainte profonde de perdre leur voix dans les décisions cruciales qui façonnent l'avenir politique français.

En effet, la possibilité de se retrouver en dehors des arènes de pouvoir, sans représentation adéquate, hante LFI, ce qui explique les mouvements et paroles vindicatifs de leur part. Les élections à venir s'annoncent déterminantes, et chaque voix perdue pourrait signifier un pas de plus vers l'effritement de leur influence. Alors que les discussions se poursuivent, la question se pose : la gauche peut-elle réellement s’unir sans reconnaître la légitimité de chaque acteur, y compris LFI ? Le PS est il au bon moment pour pour revenir en tête de la gauche ?

Cette situation souligne les tensions et l'urgence d'un dialogue et des prises d'audaces au sein de la gauche. LFI, en proposant une union autour de son propre candidat, manifeste sa détermination à ne pas céder de terrain, à refuser tout dialogue et à défendre son positionnement face à une potentielle érosion de leur pouvoir.

L'inquiétude de LFI de se voir déclassée politiquement et électoralement est donc légitime, mais n'en sont ils pas responsable ?

TAIR Marc

La France Insoumise en Danger ? Inquiétude d'un déclassement politique - 112024

Publié dans actualités, politique

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La colère agricole et le Mercosur - 112024

Publié le par tair marc

En France les agriculteurs sont confrontés à un marché globalisé de plus en plus concurrentiel, ils se sentent souvent acculés à des mesures de protestation drastiques, telles que les blocages routiers. L'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, qui englobe des pays comme le Brésil et l'Argentine, est particulièrement critiqué. Les agriculteurs estiment que cet accord favorise l'importation de produits agricoles à bas prix, dont les standards de production ne respectent pas les normes environnementales et sanitaires rigoureuses en vigueur en Europe, ce qui est en effet un problème.

Cette situation soulève des inquiétudes quant à la pérennité de l'agriculture européenne en particulier en France, qui doit composer avec des produits importés qui peuvent être moins chers, souvent en raison de coûts de production plus faibles dans ces pays. Par conséquent, cela met une pression supplémentaire sur les revenus des agriculteurs français, qui se retrouvent dans une situation de désavantage concurrentiel. Beaucoup d'entre eux ont du mal à couvrir leurs coûts de production, ce qui a conduit, en 2023, à un nombre alarmant de dépôts de bilan. Selon les données disponibles, près de 2 000 fermes ont été contraintes de fermer leurs portes l'an dernier, un chiffre qui illustre la crise profonde que traverse le secteur agricole.

De plus, le sentiment d'abandon par le gouvernement est palpable. Les agriculteurs estiment qu'ils ne bénéficient pas d'une défense adéquate face aux défis imposés par la mondialisation. Malgré les promesses de soutien et de protection, beaucoup trouvent que les mesures mises en place sont insuffisantes pour réellement contrer les effets néfastes de l'importation de produits moins chers. Laisser venir des produits en UE qui ne respectent pas les normes européennes est inacceptable, ceci est un préalable a toute acceptation du Mercosur.

Des think tanks et des journalistes se sont récemment penchés sur cette problématique. Par exemple, des rapports de l'Institut Montaigne et des articles dans des médias tels que "Le Monde" et "Libération" ont mis en lumière les défis auxquels font face les agriculteurs. Ces analyses plaident pour une réévaluation des politiques commerciales de l'UE et un soutien accru pour les agriculteurs afin de garantir la durabilité de l'agriculture européenne.

« On se demande pourquoi le gouvernement refuse depuis de nombreuses années de défendre les agriculteurs, malgré les signaux de mécontentement, et pourquoi il se réveille seulement après un mouvement de blocage pour reprendre le message. Sont-ils vraiment convaincus de la nécessité de les aider avec la force requise pour changer le contrat du Mercosur ? »

TAIR Marc

La colère agricole et le Mercosur - 112024
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Jours de Carences et arrêts maladies, les fonctionnaires doivent ils passer à 3 jours comme le privé ? - 102024

Publié le par tair marc

Jours de Carences et arrêts maladies, les fonctionnaires doivent ils passer à 3 jours comme le privé ?
Comparatif des arrêts maladie entre la fonction publique et le secteur privé :

Les statistiques montrent qu'en moyenne, les fonctionnaires, selon leur catégorie (État, santé et collectivités), ont des taux d'arrêts maladie qui ne sont pas significativement plus élevés que ceux observés dans les TPE, PME et grandes entreprises. En effet, les données indiquent que le nombre de jours d'arrêt par an varie peu entre ces catégories. Par exemple, les fonctionnaires peuvent avoir en moyenne 10 à 12 jours d'arrêt par an, tandis que dans le secteur privé, cette moyenne oscille entre 7 et 15 jours, selon la taille de l'entreprise. Les secteurs du privé ayant le plus grand nombre de jours d'arrêt sont souvent ceux de la santé et de l'industrie, où les travailleurs peuvent atteindre jusqu'à 20 jours d'arrêt par an soit plus que la moyenne des fonctionnaires et ceci en raison des conditions de travail particulièrement exigeantes.

Réglementation et conditions des arrêts maladie :

Il convient de rappeler que la prise en charge des arrêts maladie pour les fonctionnaires est différente de celle des salariés du privé. En effet, pour les fonctionnaires, les arrêts maladie sont couverts par des mutuelles, ce qui représente un coût supplémentaire. En moyenne, un fonctionnaire peut cotiser entre 300 et 600 € par an pour sa mutuelle, en fonction des garanties choisies. À l'inverse, dans le privé, les arrêts maladie sont pris en charge par la CPAM, allégeant ainsi le poids financier sur le salarié.

Jour de carence et gestion des congés :

La question du jour de carence en cas d'arrêt maladie est également cruciale. Actuellement, les fonctionnaires ont un jour de carence, tandis que dans le secteur privé, certaines grandes entreprises prennent en charge 2 à 3 jours de carence par leurs mutuelles, ils ont donc en réel un jour de carence. Proposer d'augmenter le jour de carence des fonctionnaires à 3 jours serait une mesure injuste qui ne prendrait pas en compte les spécificités de leur statut et des cotisations qu'ils versent. Cela pourrait aussi aggraver la situation de fatigue accumulée qui, dans de nombreux cas, limite leur capacité à poser des congés. Les Compte Épargne Temps (CET) souvent pleins des fonctionnaires en sont une illustration : de nombreux agents n'ont pas pu prendre leurs congés, ce qui contribue à une hausse des arrêts maladie. Donc le fait de dire que le privé à 3 jours de carences n'est totalement vrai, et par pour tous, certains n'ont qu'un jour et sans surcout personnel.

Impact sur les forces de l'ordre et le personnel de santé :

Les forces de l'ordre et les personnels de santé subissent également une pression considérable en matière de charge de travail. En moyenne, ces professionnels travaillent souvent plus de 42 heures par semaine, particulièrement lors d'événements d'envergure tels que les Jeux Olympiques, où les restrictions sur les congés ont été significatives. Les agents ont dû faire preuve d'une disponibilité exceptionnelle, avec des jours de présence à 100 % pendant des périodes critiques, ce qui a amplifié le stress et la fatigue. La gestion des congés pour ces catégories de fonctionnaires est souvent complexe, rendant difficile le maintien d'un équilibre sain entre vie professionnelle et vie personnelle.

Contexte des arrêts maladie durant la pandémie :

Il est également important de noter qu'au cours des cinq dernières années, la charge financière liée aux arrêts maladie a été particulièrement impactée par la pandémie de COVID-19. En effet, cette période a représenté environ 25 % des arrêts maladie en France, contribuant ainsi de manière significative à l’augmentation des dépenses de la CPAM et, par conséquent, à une dette importante pour le système de santé. Ces chiffres soulignent la nécessité de prendre en compte les circonstances exceptionnelles qui ont affecté la santé publique et la charge de travail des fonctionnaires.

Reconnaissance et respect des fonctionnaires :

Il est également important de noter qu'au cours des cinq dernières années, la charge financière liée aux arrêts maladie a été particulièrement impactée par la pandémie de COVID-19. Cette période a représenté environ 30 % des arrêts maladie en France sur les 5 dernières années ce qui n'est pas rien, contribuant ainsi de manière significative à l’augmentation des dépenses de la CPAM et, par conséquent, à une dette importante pour le système de santé. Ces chiffres soulignent la nécessité de prendre en compte les circonstances exceptionnelles qui ont affecté la santé publique et la charge de travail des fonctionnaires.

Conclusion :

En tant que représentant du Mouvement Politique et Gaulliste : Union du Peuple Français, je tiens à rappeler que les fonctionnaires méritent reconnaissance et respect pour leur dévouement au service public. Plutôt que de réduire leurs droits, il est primordial de renforcer les moyens humains dans les services publics, d'améliorer l'attractivité des métiers et de garantir des conditions de travail dignes. Les économies à réaliser ne devraient pas se faire au détriment de ceux qui œuvrent chaque jour pour le bien-être de la population.

Il est temps de valoriser le travail des fonctionnaires et de reconnaître les défis qu'ils relèvent chaque jour, tout en promouvant une gestion humaine et responsable des services publics. En effet ont ne peut penser a augmenter le nombre de jours de carence sans avoir évolué l'impact ni fait une meilleur gestion du personnel, en apportant dans les services concernées le nombre de personnel requis, si dans certaines catégories ont trop de personnels cela n'est pas vrai partout, un manque important d'agents est constaté.

TAIR Marc

Secrétaire général adjoint

Union du peuple Français

Jours de Carences et arrêts maladies, les fonctionnaires doivent ils passer à 3 jours comme le privé ? - 102024

Publié dans actualités, finance, politique

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Les Violences Sexuelles sur les Personnes de Plus de 65 Ans et les Personnes en Situation de Handicap Au cours de la dernière décennie, les violences sexuelles à l'encontre des personnes âgées de plus de 65 ans et des personnes en situation de handicap - 102024

Publié le par tair marc

Les Violences Sexuelles sur les Personnes de Plus de 65 Ans et les Personnes en Situation de Handicap

Au cours de la dernière décennie, les violences sexuelles à l'encontre des personnes âgées de plus de 65 ans et des personnes en situation de handicap ont connu une augmentation préoccupante. Ces actes odieux, qui touchent des populations souvent vulnérables et marginalisées, soulèvent des questions éthiques, sociales et juridiques cruciales.

Une Montée Alarmante

Les statistiques indiquent une tendance inquiétante : les violences sexuelles visant ces groupes sont en hausse.

Malheureusement, il a été observé que de nombreux cas de violences sexuelles sont perpétrés par des individus jeunes, qui peuvent avoir des antécédents criminels. Dans certains cas, ces actes sont également imputables à des personnes clandestines, qui, en raison de leur statut précaire, se sentent souvent à l'abri des conséquences légales et sociales de leurs actes. Cela soulève des préoccupations sur la responsabilité collective de la société pour protéger les plus vulnérables.

Prise de Conscience et Mobilisation

Face à cette situation alarmante, ont peut retenir plusieurs think tanks qui commencent à relayer ces faits. Des groupes comme l'Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales (ONDRP) et la Fondation de France ont mis en avant des études et des recommandations concernant la protection des personnes âgées et des personnes en situation de handicap.

Des journalistes de médias comme Le Monde, Libération, et France Info ont également consacré des articles et des reportages à ce sujet, mettant en lumière les réalités vécues par les victimes et plaidant pour des réformes nécessaires. Les éditorialistes, par leurs analyses, soulignent la nécessité d'une action concertée et rapide pour lutter contre ces violences.

Appels à l'Action

Des think tanks comme Terres de luttes et le Centre de Recherche en Économie et Statistiques (CREST) ont élaboré des recommandations concrètes, telles que la formation des professionnels de santé et des travailleurs sociaux, l'amélioration des protocoles de signalement, et le développement de campagnes de sensibilisation destinées à la population générale.

La coordination entre les différentes parties prenantes — gouvernement, associations, professionnels et médias — est essentielle pour établir une réponse efficace à ces violences. Il est impératif de créer un environnement où les victimes se sentent en sécurité pour parler et où elles reçoivent le soutien dont elles ont besoin.

Conclusion

Les violences sexuelles envers les personnes de plus de 65 ans et les personnes en situation de handicap représentent un enjeu sociétal majeur qui nécessite une attention urgente. Grâce à une mobilisation collective et à une prise de conscience accrue, il est possible d'éradiquer ces abus et de garantir un avenir où chaque individu, quel que soit son âge ou son état de santé, peut vivre en sécurité et dignité.

Au cours de la dernière décennie, les violences sexuelles à l'encontre des personnes âgées de plus de 65 ans et des personnes en situation de handicap ont connu une augmentation préoccupante. Ces actes odieux, qui touchent des populations souvent vulnérables et marginalisées, soulèvent des questions éthiques, sociales et juridiques cruciales.

Un facteur aggravant du fait de leur fragilité est a retenir, il faut une réponse judiciaire très forte pour stopper ces faits qui deviennent une habitude inacceptable.

Stop aux viols !

TAIR Marc

 

Les Violences Sexuelles sur les Personnes de Plus de 65 Ans et les Personnes en Situation de Handicap  Au cours de la dernière décennie, les violences sexuelles à l'encontre des personnes âgées de plus de 65 ans et des personnes en situation de handicap - 102024

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Etat du réseau électrique et risque de surchauffe - bilan alarmiste - 102024

Publié le par tair marc

État du réseau électrique et risques de surchauffe
  1. Surchauffe du réseau :

    • Avec l'augmentation de la demande en électricité attendue ces prochaines années due à l'adoption croissante des véhicules électriques, le réseau électrique français pourrait devenir trop sollicité. Si la croissance se poursuit sans investissements significatifs dans l'infrastructure en construisant de nouvelles centrales, cela pourrait mener à des pics de consommation qui dépassent la capacité de production et de distribution du réseau. La situation pourrait provoquer des surcharges et des pannes, affectant la sécurité d'approvisionnement.
  2. Problèmes d'approvisionnement au niveau européen :

    • Le problème d'approvisionnement en électricité n'est pas seulement national, il est également européen. En cas de pénurie, il ne sera pas possible de compter sur les importations d'électricité d'autres pays, car ces derniers pourraient faire face aux mêmes défis. Cela signifie qu'en période de forte demande, la France pourrait être contrainte d'affronter une crise énergétique sans soutien extérieur.
  3. Coût des coupures d'électricité :

    • En cas de coupure d'électricité non sollicitée, le redémarrage des systèmes est coûteux et peut prendre du temps. Les pertes économiques dues à des interruptions de service peuvent être très élevées pour les entreprises, et le coût global pour la société peut rapidement dépasser les économies réalisées par les subventions.
Estimation du manque d'électricité dans les 5 prochaines années
  1. Estimation de la demande supplémentaire :

    • Si la France continue de subventionner les véhicules électriques sans investissements parallèles dans la production d'énergie, la demande supplémentaire pourrait atteindre jusqu'à 40 TWh par an pour un parc automobile de 10 millions de voitures électriques. Cela représenterait une augmentation significative de la consommation, exacerbant les tensions sur le réseau.
  2. Capacité de production insuffisante :

    • En l'absence de nouvelles centrales nucléaires ou d'une augmentation substantielle des énergies renouvelables, la France pourrait rencontrer un manque d'électricité de l'ordre de 20 à 30 TWh par an dans les cinq prochaines années. Ce manque entraînerait non seulement des risques de coupures, mais également une incapacité à répondre aux besoins des consommateurs et des industries.
Estimation volontairement donnée sur la fourchette haute, pour évoquer un problème réel qui n'a pas été évalué en amont ce qui est un problème.
Conclusion

Pour éviter de potentielles crises énergétiques, il serait judicieux pour l'État de ralentir ou de décaler les aides à l'achat de véhicules électriques jusqu'à ce que de nouvelles capacités de production d'énergie soient mises en place. La sursollicitation du réseau électrique, combinée à un manque de solutions de soutien à l'échelle européenne, pourrait entraîner des coupures d'électricité coûteuses et des perturbations économiques significatives. L'État doit agir rapidement pour garantir une transition énergétique réussie tout en assurant la sécurité d'approvisionnement en électricité pour les citoyens et les entreprises. Cette tension aura pour finalité de faire monter encore les prix de l'électricité.

TAIR Marc

Etat du réseau électrique et risque de surchauffe - bilan alarmiste - 102024

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La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens ! 102024

Publié le par tair marc

La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens

La question de la dette publique en France est devenue un sujet de préoccupation majeur, surtout avec les récentes décisions du gouvernement, qui semblent s’en prendre aux économies des citoyens, notamment par le biais de la taxation des assurances vie. Ces choix fiscaux, qui incluent le fait de réfléchir à l'opportunité  de taxer les chiens, mettent en lumière une gestion financière déconcertante qui reflète des années de décisions hasardeuses.

Il est devenu évident que les gouvernements successifs, ont échoué à maîtriser leurs dépenses. Ils ont dépensé sans compter, dépassant continuellement les recettes que Bercy parvient à collecter. Ce manque de discipline financière se traduit par un endettement croissant, laissant les citoyens porter le fardeau de cette impréparation. Les citoyens, et la fonction publique n'y sont pour rien sur ces dépenses hasardeuses décidées au plus haut niveau.

Ce n’est pas assez d’être réactif d’année en année ; le gouvernement doit adopter une vision à long terme, planifiant ses dépenses et ses recettes sur des périodes de 7, 10 ou même 15 ans. Une telle approche permettrait de créer un cadre stable pour l'économie française, en favorisant la croissance durable et en assurant une gestion responsable des finances publiques. Au lieu de cela, nous assistons à des décisions à court terme, parfois à l’opposé de ce qui a été fait un an plus tôt, qui aggravent la situation économique sans offrir de solutions concrètes.

Pour sortir de ce cycle déplorable, l'État doit se concentrer sur des actions qui encouragent la production et la productivité. Cela implique d’aider les entreprises à embaucher et à se développer, tout en s'assurant qu'elles paient des impôts sur leurs bénéfices, non pas sous la forme de taxes alourdissantes, mais comme une contribution à un avenir économique prospère. La prospérité des entreprises se traduit par des emplois, des revenus et, par conséquent, des recettes fiscales durables pour l'État.

Il est impératif que le gouvernement cesse de faire payer les citoyens français, qui constatent une diminution constante du retour sur leurs impôts. Les services publics, censés être le reflet d'un système fiscal équitable, se détériorent, voire disparaissent. Faire peser ces charges sur les épaules des Français sans un plan clair pour l'avenir est une véritable incompétence.

L'État doit élaborer un plan structuré et visionnaire pour l'avenir de la France, prenant en compte le PIB, la production et ses recettes. Les citoyens méritent un gouvernement qui pense à long terme et qui agit pour améliorer leur quotidien, et non un gouvernement qui se contente de décider des mesures fiscales sans réelle vision.

Il est temps de dire stop au hold-up dans la poche des citoyens français. La responsabilité et la transparence doivent devenir des priorités pour notre gouvernement, afin de restaurer la confiance et de garantir un avenir meilleur pour tous. Le système va se gripper et la poche des Français ce vide.

TAIR Marc

La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens ! 102024
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