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economie

Mme AURIOL Experte et Professeur à la School of Economics of Toulouse expose son avis sur la légalisation du cannabis - 032025

Publié le par tair marc

Le 20 mars 2025, Emmanuelle Auriol, experte et professeur d'économie à l'Université Toulouse (School of Economics of Toulouse), était invitée sur BFM Business dans l'émission "Débat et Controverse". Elle a fait un comparatif hasardeux en affirmant qu'il y a plus d'overdoses avec le tabac qu'avec le cannabis.

Le présentateur Nicolas Doze lui a demandé si elle était bien sûre de son affirmation. Elle s'est ravisée en disant qu'elle ne savait pas. Ces propos peuvent être considérés comme dangereux et simplistes, car elle évoque des éléments sans certitude, d'autant plus qu'il n'existe pas d'overdose de tabac, bien que ses conséquences à long terme soient bien documentées.

Elle a également mentionné l'intérêt économique et fiscal de la légalisation. Ses propos visaient à favoriser la légalisation du cannabis, mais elle a utilisé un argument erroné pour y parvenir. La question de N. Doze aurait pu rester en suspens et être répétée sur les réseaux sociaux grâce aux extraits de cet échange.

De plus, elle a affirmé ne connaître aucun économiste qui contredirait ses propos ni aucun pays ayant regretté sa décision de légaliser. Cependant, des recherches montrent le contraire :

  • Nicolas Prisse, médecin de santé publique et également invité aux JECO, a déclaré : “Le cannabis n’est pas un produit du marché.”

  • Depuis 2021, la Suisse a lancé des projets pilotes dans certaines villes, comme Zurich et Genève, pour tester la vente contrôlée de cannabis à des fins récréatives. Certains s'inquiètent des impacts potentiels sur la santé, notamment chez les jeunes.

  • Christoph Blocher, ancien conseiller fédéral et membre de l'Union Démocratique du Centre (UDC), a exprimé des préoccupations concernant les conséquences sociales et sanitaires de la légalisation.

  • Frédéric Ménard, président de la Société Suisse de Santé Publique, a mis en garde contre les risques pour la santé mentale associés à une consommation accrue de cannabis, surtout chez les jeunes, et a exprimé des réserves sur les effets de la légalisation.

  • Jean-Michel Ghosn, médecin et addictologue, a souvent évoqué les dangers du cannabis et ses effets néfastes sur la santé mentale, plaidant pour une approche plus prudente vis-à-vis de sa légalisation.

  • Jean-Pierre Dussausaye, journaliste, a écrit des articles soulignant les dangers potentiels de la légalisation et les expériences négatives observées dans d'autres pays, appelant à la prudence.

Il en résulte une opposition tant dans le milieu universitaire que médical. Les propos d'Emmanuelle Auriol semblent tronqués sur un sujet aussi complexe, ne se limitant pas uniquement aux aspects économiques d'un pays.

Elle affirme ne connaître aucun pays regrettant sa décision de légaliser, mais la Suisse, qui a légalisé l'usage récréatif à moins de 1 % de THC, montre des signes de méfiance, et de nombreux politiciens, y compris le Conseil fédéral suisse, expriment des regrets à ce sujet.

Il apparaît que la professeure évoque des acquis favorables qui ne sont pas nécessairement fondés, ce qui pourrait impliquer des inexactitudes dans ses propos. Une recherche rapide de deux minutes suffit à contredire certaines de ses affirmations, qui peuvent être récurrentes dans ses colloques et ouvrages, tout comme sur les plateaux de télévision.

Sans prendre position dans ce débat, même si j'ai ma propre opinion sur le sujet, je considère qu'il est préoccupant de donner des informations qui soutiennent ses affirmations, alors qu'elles sont erronées. Mentir sur des sujets qui lui semblent favorables n'est pas sérieux.

TAIR Marc

Mme AURIOL Experte et Professeur à la School of Economics of Toulouse expose son avis sur la légalisation du cannabis - 032025
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La viande en France : un changement de cap face aux préoccupations économiques et écologiques - 032025

Publié le par tair marc

La viande en France : un changement de cap face aux préoccupations économiques et écologiques :

La consommation de viande en France connaît une transformation significative. Entre préoccupations écologiques, hausse des prix et nouvelles habitudes alimentaires, de nombreux Français semblent redéfinir leur rapport à cet aliment emblématique de la gastronomie nationale. Selon la troisième édition du baromètre de la consommation de viande, réalisé par Harris Interactive en partenariat avec le Réseau Action Climat, plus de la moitié des Français (53%) admettent avoir diminué leur consommation de viande au cours des trois dernières années.

Une consommation en déclin

Cette tendance vers une alimentation plus végétale n’est pas sans raison. L'enquête, menée du 2 au 5 février 2025 auprès de 1 102 Français, révèle que les motivations derrière cette réduction sont multiples. Si l’aspect financier demeure la raison principale pour une bonne partie des sondés, son importance semble diminuer par rapport à l'année 2023, marquée par une forte inflation. Aujourd'hui, la santé et les préoccupations écologiques prennent une place de plus en plus centrale dans les choix alimentaires des consommateurs.

Qui consomme encore de la viande ?

Malgré cette évolution, 30 % des Français déclarent continuer à consommer de la viande quotidiennement, un chiffre en hausse par rapport à 2023. Les plus gros consommateurs de viande restent les jeunes et les parents, qui privilégient son apport en protéines essentielles, particulièrement cruciales pour le corps, notamment après 60-65 ans, lorsque les besoins en protéines augmentent pour préserver la masse musculaire.

Un regard ambivalent

Le regard porté sur la viande demeure ambivalent. Elle est perçue comme un symbole de qualité alimentaire, mais fait face à des critiques pour son impact environnemental pour nombreuses personnes et les questions de bien-être animal est aussi une cause pour certains. Cela alimente un débat sur la nécessité de consommer moins de viande, tout en optant pour des produits de meilleure qualité.

Vers une nouvelle approche ?

Alors que 73 % à 78 % des Français affirment privilégier désormais les légumineuses, il semble que l’heure soit venue pour les Français de revoir leur assiette. Un équilibre s’installe, où moins de viande pourrait rimer avec une alimentation plus diversifiée et responsable, sans pour autant renier les valeurs gastronomiques chères à la culture française. la viande reste encore dans l'assiette.

Il est donc comparé les résultats des sondés et de la consommation réelle, il semble que la baisse est marginale par personne et sur un an, mais cumulée sur la population sur une année cela est plus conséquent, une tendance qui devra être vérifiée sur 10 ans. Il faut donc relativiser les énoncés de baisses significative en France.

  • Comparatif sur trois ans :

    • 2022 : Environ 88 kg par personne, avec une légère baisse par rapport aux années précédentes.
    • 2023 : La consommation a continué de diminuer, atteignant environ 85 kg, principalement en raison de préoccupations liées à la santé et à l'environnement, ainsi qu'à la hausse des prix.
    • 2024 : Les tendances montrent une poursuite de cette baisse, avec des chiffres s'élevant à environ 82-84 kg par personne.

En somme, la viande, bien qu’encore très présente dans les habitudes alimentaires, doit désormais s’inscrire dans une démarche plus réfléchie et durable. Moins de viande, mais de meilleure qualité : voilà peut-être la voie à suivre pour répondre aux préoccupations économiques, écologiques et de santé des consommateurs français.

Données récoltées par :

  • INSEE
  • Observatoires de la consommation : Des études réalisées par des instituts de sondage comme Harris Interactive, Kantar.

Données d'après Par Paolo Garoscio | Publié le 18 mars 2025 et des recherches de Marc TAIR.

TAIR Marc

La viande en France : un changement de cap face aux préoccupations économiques et écologiques - 032025
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Inflation Alimentaire : Une Analyse Critique des Prix - France - 032025

Publié le par tair marc

Inflation Alimentaire : Une Analyse Critique des Prix - France - 032025
Inflation Alimentaire : Une Analyse Critique des Prix et de la Répartition des Marges :

Depuis 2018, la France et, plus largement, l'Union européenne ont été confrontées à une montée considérable des prix des denrées alimentaires peut être parfois en excès. Cette inflation, accentuée par la pandémie de COVID-19 et ses conséquences sur les chaînes d'approvisionnement, a eu un impact significatif sur le pouvoir d'achat des consommateurs. En 2023, une augmentation moyenne de près de 20 % des prix alimentaires sur un an a été constatée, un chiffre alarmant qui soulève de nombreuses questions sur les raisons sous-jacentes à cette hausse.

Coûts de Production et Marges des Distributeurs

Bien que les coûts de production aient été un facteur déterminant dans l'augmentation des prix, il serait réducteur de ne considérer que cet aspect. En effet, depuis 2023, les prix de l'énergie, notamment ceux de l'électricité fournie par EDF, ont commencé à baisser par rapport à la période Covid qui a connu une montée des prix jamais vu auparavant, ce qui devrait théoriquement alléger la pression sur les coûts de production. Cependant, cette diminution des frais n'a pas entraîné de baisse proportionnelle des prix à la consommation.

Cette situation met en lumière un autre élément crucial : l'augmentation des marges bénéficiaires des producteurs et des distributeurs. Dans le secteur alimentaire, il n'est pas rare que les grossistes et les grandes surfaces profitent de l'inflation pour gonfler leurs marges, au détriment des agriculteurs. Par exemple, pour des produits agricoles non ou peu transformés, comme le lait, les profits ne se répercutent pas sur les producteurs. Le litre de lait, qui coûtait environ 50 centimes il y a 15 ans, dépasse désormais les un euro en magasin, alors que les agriculteurs laitiers, eux, voient rarement une augmentation de leurs revenus proportionnelle à cette flambée des prix.

Impacts Sociaux et Économiques

Cette dynamique soulève des préoccupations fondamentales sur la répartition des richesses au sein de la chaîne alimentaire. Alors que les consommateurs paient de plus en plus cher pour des produits de base, les agriculteurs, qui sont souvent en première ligne, ne bénéficient pas de cette inflation. En parallèle, la stagnation des salaires dans de nombreux secteurs ajoute une pression supplémentaire sur le pouvoir d'achat des ménages, qui se retrouvent piégés entre la hausse des prix et des revenus stagnants.

2023/2024 un record en terme d'inflation, 2025 est en passe de faire mal aussi

L'inflation alimentaire actuelle, avec une hausse significative des prix en seulement un an (2023/2024), représente un défi sérieux pour les consommateurs, mais aussi pour les producteurs agricoles qui ne bénéficient pas entièrement de cette hausse. Les discours autour de l'augmentation des coûts de production, bien qu'en partie justifiés, masquent souvent la réalité d'une rentabilité accrue pour les distributeurs et les grossistes. Cela appelle à un examen critique des pratiques commerciales dans le secteur alimentaire et à une réflexion sur la manière dont les bénéfices sont répartis tout au long de la chaîne de valeur.

Certains distributeurs ont une augmentation de leur marge bénéficiaire et s'établit entre 16 et 20% annuel en en moyenne en France, certains Leclerc par exemple peuvent avoisiner les 35%.

L'enjeu n'est pas seulement économique, mais également éthique : il s'agit de garantir que les agriculteurs soient justement rémunérés pour leur travail et que les consommateurs puissent accéder à des produits alimentaires à des prix raisonnables. Une régulation plus stricte des marges et une transparence accrue dans la chaîne d'approvisionnement pourraient contribuer à rétablir un équilibre plus juste et durable.

TAIR Marc

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EDF et Production d'Énergie : Un Enjeu Crucial pour les Français - 052025

Publié le par tair marc

EDF et Production de l'Énergie : Un Enjeu Crucial pour les Français :

La question de la production et de la distribution d'énergie en France, notamment par EDF, suscite de vives préoccupations. Récemment, il a été rapporté qu'EDF envisage de vendre sa production d'énergie aux enchères auprès des pays Européens. Cette décision soulève des interrogations sur la gestion de l'énergie en France et sur les conséquences pour les consommateurs français, qui se retrouvent dans une situation paradoxale.

Une Surproduction au Détriment des Français

Il apparaît que cette stratégie d'EDF pourrait être motivée par une surproduction d'énergie. En cherchant à maximiser ses bénéfices en vendant aux pays européens, EDF et l’État semblent oublier le fait que les contribuables français ont déjà investi massivement dans la construction et l'entretien des centrales nucléaires. Ces infrastructures, qui font la fierté de notre pays, ont été financées par l'impôt des citoyens et leur fonctionnement repose sur des engagements pris envers la sécurité énergétique de la France.

Il est inacceptable que les Français, qui ont investi dans cette capacité de production d'énergie, soient désormais contraints de payer leur électricité au prix du marché européen comme tout pays Européen qui lui n'a pas financé la construction de ces centrales. Ce marché, souvent fluctuant et influencé par des facteurs extérieurs, ne reflète pas la réalité des coûts d'exploitation des centrales nucléaires françaises, qui sont parmi les plus performantes au monde.

Mon Appel à l'Action du Gouvernement

Face à cette situation, je pense qu'il est impératif que le gouvernement français prenne acte de ce fait et des mesures pour protéger les intérêts des Français. Une révision des prix de l'énergie à la baisse pour les particuliers et les entreprises est nécessaire. Cela pourrait impliquer de renégocier les modalités de tarification de l'énergie auprès de l'Union Européenne, revoir sur le marché Français les critères de tarification pour garantir que les consommateurs français ne soient pas soumis aux aléas des prix du marché européen qui reste en défaveur des Français malgré qu'ils ont fait le meilleur choix par la passé.

La mise en place d'un modèle de tarification interne, basé sur le coût réel de production et d'entretien des centrales ainsi que sur le préalable que le prix de l'énergie influe sur le marché des exportations des PMI/PME qui ont besoin d’être rentable pour faire des offres de prix raisonnables et compétitifs, cela pourrait permettre de stabiliser les prix de l'électricité pour les Français qui aujourd'hui ont un prix qui change de un a deux fois par an. Cela garantirait que ceux qui ont déjà contribué à la création de ce système énergétique en bénéficient pleinement.

Impacts Économiques et Sociaux

Un prix de l'électricité réduit pour les entreprises françaises ne serait pas seulement une victoire pour les consommateurs, mais également un levier économique pour la compétitivité de nos industries et donc du PIB ce qui aiderait aussi pour le dette du pays. En baissant les coûts de l'énergie, les entreprises pourraient améliorer leur rentabilité, stimuler l'exportation de leurs produits à des prix plus compétitifs et, par conséquent, augmenter les recettes fiscales de l'État grâce aux impôts sur les bénéfices.

Une entreprise compétitive c'est aussi des embauchent pour l'avenir.

Le rôle des députés, sénateurs et du gouvernement est crucial dans ce contexte. Ils doivent se mobiliser pour défendre les intérêts des citoyens français et s'assurer que les choix énergétiques du passé continuent de servir l'économie et le bien-être des Français.

Baisser le coût des entreprises sur leur budget énergétique est stratégique pour le PIB, en baissant le prix de revient des produits c'est plus de produits vendus par les particuliers et plus d'export. Doit favoriser une seule entreprise (EDF) et le marché Européen de l'énergie ou bien favoriser toutes entreprises Françaises et les particuliers ? Le pouvoir d'achat s'en porterait mieux.

En conclusion

La situation actuelle d'EDF et la stratégie de vente de l'énergie sur le marché européen soulèvent des questions fondamentales sur la justice et l'équité dans la gestion de l'énergie en France. Les Français méritent de bénéficier des avantages d'un système énergétique dans lequel ils ont investi. Le gouvernement doit agir rapidement pour garantir que l'énergie, un bien essentiel, soit accessible et abordable pour tous les citoyens, tout en soutenant la compétitivité de nos entreprises. Ce dossier mérite une attention urgente, car il en va de la justice sociale et de la prospérité économique de notre pays.

TAIR Marc

EDF et Production d'Énergie : Un Enjeu Crucial pour les Français - 052025
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George Soros : un homme d'influence aux visages multiples et à l'ombre inquiétante - 012025

Publié le par tair marc

George Soros : un homme d'influence aux visages multiples et à l'ombre inquiétante

George Soros, est un milliardaire américain philanthrope, est un personnage qui suscite des sentiments ambivalents à l'échelle mondiale. Avec une fortune estimée à 25 milliards de dollars, il consacre une grande partie de ses ressources à promouvoir des idées très libérales via l’Open Society Foundations (OSF), un réseau philanthropique qui finance des ONG dans plus d'une trentaine de pays que l'ont pourrait appeler du lobbying. Cependant, cette influence est souvent controversée, mêlée à des accusations de manipulation et d'ingérence dans les affaires politiques et judiciaires sur des affaires concrètes.

Un parcours marqué par l'adversité

Né à Budapest en 1930 dans une famille juive, Soros a vécu des événements tragiques qui ont profondément influencé son engagement ultérieur pour les droits de l'homme et la démocratie. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a survécu à l’occupation nazie, une expérience qui a façonné sa vision du monde et son désir d'encourager la démocratie. Soros s'installe à Londres, puis aux États-Unis, où il devient un investisseur renommé, surtout connu pour avoir "cassé la Banque d’Angleterre" en 1992, un acte qui a renforcé son image de spéculateur.

Un homme aux stéréotypes multiples

Soros est souvent décrit à travers un prisme de stéréotypes contradictoires. D'un côté, il est perçu comme un "vautour" du capitalisme vu sa manière de faire du profit, exploitant les faiblesses systémiques pour s’enrichir, tandis que de l'autre, il est vu comme un "Robin des Bois" moderne, qui utilise sa fortune pour soutenir des causes libérales.

Lors d'un sommet à Davos en 2019, Soros a mis en garde contre le régime chinois, le qualifiant de "plus grand ennemi de la société ouverte", ce qui a engendré des réactions mitigées, allant de l'approbation à l'indignation. Ses discours et actions continuent de susciter des débats passionnés, souvent teintés de controverses liées à son statut de figure publique.

Soros plusieurs fois invité à Davos pour évoqué les dangers climatiques et environnementaux est aussi lié aux industries, à travers son fonds Soros Fund Management, a investi dans plusieurs entreprises innovantes axées sur l'environnement et les énergies renouvelables. Parmi ses investissements notables figurent Tesla, un leader dans les véhicules électriques, et Sunrun, spécialisée dans l'énergie solaire résidentielle. Il a également soutenu NextEra Energy et First Solar, qui se concentrent sur l'énergie éolienne et solaire. ChargePoint, fournisseur d'infrastructures de recharge pour véhicules électriques, fait également partie de son portefeuille. Ces investissements reflètent son engagement en faveur d'un avenir durable et d'un développement technologique responsable.

L'influence néfaste sur les institutions

L'une des critiques les plus graves formulées à l'encontre de Soros concerne son influence sur la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). Un rapport de l'European Centre for Law and Justice (ECLJ) a révélé que 22 des 100 juges ayant siégé entre 2009 et 2019 avaient des liens directs avec des ONG financées par Soros. Sur cette période, ces juges ont été impliqués dans des affaires concernant les ONG pour lesquelles ils avaient travaillé, créant des conflits d'intérêts évidents. Cela soulève des questions inquiétantes sur l'impartialité de la CEDH, qui est censée être un pilier de la justice en Europe.

Les révélations de l'ECLJ ont été accueillies avec colère par les dirigeants de la CEDH, qui ont choisi de ne pas commenter publiquement ces accusations, cherchant plutôt à minimiser la situation. D’ailleurs, plusieurs initiatives ont été mises en place pour examiner les conflits d'intérêts, mais les résultats demeurent décevants.

Cette emprise sur la CEDH et d'autres institutions internationales illustre comment Soros et ses réseaux peuvent manipuler les systèmes politiques et juridiques pour promouvoir leurs intérêts, souvent au détriment de l'indépendance et de l'intégrité des institutions. Des voix politiques, comme celles de Marine Le Pen et François-Xavier Bellamy, ont dénoncé cette "corruption des élites", suggérant que la situation est plus alarmante qu'elle ne paraît.

George Soros, à travers son réseau de fondations, en particulier l'Open Society Foundations (OSF), a établi des liens avec des députés européens et des institutions de l'Union européenne (UE) pour promouvoir des politiques et des initiatives alignées avec ses valeurs de démocratie, de droits de l'homme et de société ouverte.

  • Gérard Leclerc

    • Journaliste français qui a exprimé des réticences à l'égard du pouvoir d'influence de Soros, en particulier dans le cadre des débats sur la migration et les politiques libérales en Europe.

     

  • David Marcus

    • Journaliste et rédacteur en chef de plusieurs médias, il a aussi critiqué Soros pour son soutien à des ONG qu'il perçoit comme influençant négativement les politiques nationales en Europe.

     

  • Terry O'Neill

    • Un journaliste britannique qui a écrit sur la façon dont les contributions de Soros à certaines ONG et mouvements peuvent être perçues comme une tentative de manipulation politique.

     

Conclusion : une vigilance nécessaire

George Soros représente une figure névralgique de notre époque, dont l'engagement pour une société ouverte soulève des questions fondamentales sur le pouvoir des philanthropes dans le monde moderne. Son parcours, son influence et son lobbying dans diverses institutions montrent comment un individu peut façonner le débat public, mais aussi comment il peut manipuler les structures en place pour atteindre ses objectifs.

En somme, la complexité de George Soros, entre philanthrope engagé et manipulateur, souligne la nécessité d'une vigilance accrue face aux puissances économiques et idéologiques qui cherchent à façonner les sociétés contemporaines. Les enjeux liés à son activisme et à son influence sur les institutions juridiques sont des signes alarmants d'une dérive qui mérite d'être scrutée de près, car elle questionne l'intégrité même des systèmes démocratiques que Soros prétend soutenir.

Peut-on et doit-on donc s’inquiéter qu'une personne ayant des actifs dans un environnement liés a l’électrique influence pour son propre intérêt pour favoriser son business plan et ses intérêts financiers et d'autres sujets clivants comme des sujets sur le genre et autre ?

Pour votre recherche :

  1. Le Figaro (France) - Ce quotidien français a publié plusieurs articles sur George Soros, notamment en lien avec ses investissements et ses contributions à des ONG, en abordant les accusations d'influence politique.

  2. Die Welt (Allemagne) - Ce journal allemand a également couvert les controverses entourant Soros, en examinant son impact sur les politiques migratoires et les débats sur les valeurs démocratiques en Europe.

  3. Corriere della Sera (Italie) - Ce journal italien a évoqué les critiques de Soros, notamment en ce qui concerne son influence présumée sur les politiques en Europe et son soutien à des causes libérales.

TAIR Marc

George Soros : un homme d'influence aux visages multiples et à l'ombre inquiétante - 012025
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Une Baisse des Ventes de Voitures Électriques : Un Coup de Frein Brutal ? 012025

Publié le par tair marc

Une Baisse des Ventes de Voitures Électriques : Un Coup de Frein Brutal ?

La récente baisse des ventes de voitures électriques en particulier en 2024 soulève de nombreuses questions sur l'avenir de la motorisation électrique. À première vue, ce retournement pourrait être perçu comme un coup de frein brutal à une transition qui semblait inéluctable. Alors que les constructeurs automobiles ont investi des millions dans cette nouvelle technologie, et aidé à la vente par les pays en offrant des aides a l'achat prélevés sur l'impôt et coûtant cher au budget de l’État et imposé par l'Union européenne, la situation actuelle pourrait bien remettre en cause cette stratégie.

Depuis plusieurs années, l'Union européenne a entrepris une transition ambitieuse vers une mobilité durable, imposant des normes strictes pour réduire les émissions de CO2 et interdire la vente de véhicules à moteur thermique dans un avenir proche. Cependant, cette approche, qui semblait progressive sur le papier, s'avère être un coup de grâce pour de nombreuses industries liées à l'automobile. En plaidant pour une interdiction brutale du thermique et en refusant d'envisager une transition progressive, l'UE a fragilisé un secteur déjà en pleine mutation.

Les millions injectés pour favoriser l'électrification des flottes de voitures semblent désormais être une gabegie, quand on observe la réalité du marché. La transition vers les véhicules électriques nécessite des infrastructures robustes, une chaîne d'approvisionnement adaptée et une acceptation des consommateurs qui n'est pas encore acquise, loin de là, il semble par certaines analyses que l’électrique aurait un marché stabilisé à 30% en moyenne. Les délais imposés par l'UE laissent peu de place à une adaptation réfléchie et mesurée, entraînant ainsi des perturbations qui pourraient avoir des conséquences durables sur l'industrie automobile et l'emploi.

Ce choc, qui pourrait sembler temporaire, risque de porter un coup fatal à de nombreux acteurs de l'industrie. Les petites entreprises, souvent déjà vulnérables, pourraient être particulièrement touchées par cette transition trop rapide. Les choix effectués par les décideurs, sans tenir compte des réalités du marché et des besoins d'une transition en douceur mais aussi sans penser que les besoins ruraux ne sont ceux de la ville, devront être comptabilisés comme une faute lourde dans leur bilan.

L'avenir de l'automobile est en jeu, et il est indispensable que les autorités prennent conscience des enjeux économiques et sociaux liés à cette transformation. La voie vers une mobilité durable doit être envisagée avec sagesse et vraiment plus lente, en tenant compte des réalités du terrain, afin d'éviter de plonger l'industrie automobile dans une crise qu'elle n'est pas préparée à affronter. La transition (partielle) vers l'électrique ne peut être qu'un succès si elle est accompagnée d'une vision pragmatique, d'un soutien adéquat aux industries et d'une écoute attentive des acteurs concernés, et donc sur le temps très long.

TAIR Marc

Une Baisse des Ventes de Voitures Électriques : Un Coup de Frein Brutal ? 012025
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Plan de Relance et politique - 122024

Publié le par tair marc

Les Bienfaits Économiques d'un Plan de Relance Industriel Malgré une Dette Élevée

Dans un contexte économique mondial incertain, les gouvernements font face à des défis majeurs, notamment le poids d'une dette publique croissante. Cependant, il est crucial de ne pas perdre de vue les opportunités qu'un plan de relance industriel peut offrir, en particulier pour les petites et moyennes industries (PMI) et entreprises (PME). Cet engagement peut avoir des répercussions positives sur l'économie nationale, même en période de contraintes budgétaires. Par le passé cela a fait ses preuves.

1. Soutien au Tissu Économique Local

Les PMI et PME représentent une part essentielle de l'économie. Elles sont souvent les principales sources d'emplois dans de nombreux secteurs. En investissant dans ces entreprises à travers un plan de relance, le gouvernement peut stimuler la création d'emplois, ce qui est d'une importance capitale pour réduire le chômage. Un emploi stable permet à des familles de retrouver confiance et sécurité, ce qui, à son tour, soutient la consommation intérieure.

2. Retour sur Investissement Fiscal

L'un des arguments les plus convaincants en faveur d'un plan de relance est le retour sur investissement qu'il peut générer. En aidant les PMI et PME à embaucher, l'État peut bénéficier d'une augmentation des recettes fiscales. En effet, plus d'emplois entraînent une hausse des cotisations à la sécurité sociale et des impôts sur le revenu. Sur une période de dix ans, cet effet de levier peut compenser une partie substantielle des dépenses initiales, réduisant ainsi le fardeau de la dette.

3. Innovation et Compétitivité

Les investissements dans les PMI et PME peuvent également encourager l'innovation. Ces entreprises sont souvent plus agiles et réactives que les grandes entreprises, et un soutien accru leur permet d'investir dans la recherche et le développement. Ce dynamisme peut positionner le pays comme un leader dans des secteurs d'avenir, tels que les technologies, la digitalisation ou les biotechnologies.

4. Perspectives d'Avenir

Malgré les réticences politiques, il est vital que les gouvernements envisagent des programmes de relance ambitieux et visionnaires sur des secteurs porteurs. La peur de la dette ne doit pas paralyser l'initiative. Le mot "relance" est devenu un gros mot, et cette appréhension pousse les gouvernements à hésiter à investir ne serait-ce qu'un euro pour relancer le pays. Un plan de relance bien conçu, intégrant des mesures de suivi et d’évaluation, peut offrir une voie vers une croissance durable et soutenue. En agissant aujourd'hui, nous pouvons poser les bases d'une économie plus résiliente pour les générations futures. De plus un pays avec une Industrie est pays qui va mieux.

Conclusion

Il est temps de dépasser la stigmatisation associée aux plans de relance. En investissant dans les PMI et PME, même en période de dette élevée, un gouvernement peut non seulement stimuler l'économie à court terme mais également garantir un avenir prospère sur une longue période. Les bénéfices sur une période de dix ans seront visibles, tant sur le plan de l'emploi que sur celui des recettes fiscales. Le moment est venu d'agir, d'innover et de se projeter vers un avenir meilleur.

Think Tanks et Experts

Pour renforcer ces propos, des think tanks tels que l'Institut Montaigne et l'Observatoire Français des Conjonctures Économiques (OFCE) ont publié des études soulignant l'importance des plans de relance pour soutenir les PMI et PME en période de crise. De plus, des experts comme l'économiste Philippe Aghion et le journaliste économique Esther Duflo plaident pour une approche proactive en matière de relance industrielle, soulignant les bénéfices à long terme pour l'économie. Leur travail contribue à éclairer le débat et à promouvoir des politiques qui pourraient revitaliser notre tissu économique.

Plan de Relance et politique - 122024
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Énergie Électrique en France - Les clients Français se sont fait voler - 122024

Publié le par tair marc

Énergie Électrique en France : Évolution des Prix en France et Exportations vers l'Allemagne

L'énergie électrique en France est un sujet d'actualité qui soulève de nombreuses questions, notamment en ce qui concerne son prix et son impact sur les ménages français.

En 2023, le prix de l'électricité a atteint environ 0,20 à 0,25 € par kilowatt-heure (kWh), en forte augmentation par rapport à 2013, où il se situait autour de 0,12 à 0,15 € par kWh.

En 2003, le prix était encore plus bas, autour de 0,08 à 0,10 € par kWh. Ainsi, en 20 ans, les ménages français ont vu leurs factures d'électricité multiplier par plus de trois, passant d'environ 50-70 € par mois à plus de 150 € en 2023.

Contexte de la Transition Énergétique

Durant la période de la pandémie de COVID-19 et en raison de la guerre en Ukraine, l'Allemagne a dû intensifier ses importations d'électricité, notamment en provenance de France. En raison de sa dépendance au gaz et au charbon russes, Berlin a cherché à diversifier ses sources d'énergie, et la France, avec sa forte capacité de production nucléaire, est devenue un fournisseur clé.

Chiffres Clés sur les Exportations

Selon des rapports médiatiques, en 2022, la France a exporté environ 60 TWh d'électricité vers l'Allemagne, soit près de 10 % de la consommation totale d'électricité allemande. En période de forte demande en Allemagne, la France a souvent fourni de l'électricité à des coûts qui, bien qu'en augmentation, restaient souvent plus compétitifs que ceux du marché allemand en période de crise énergétique. En avril 2023, les prix de l'électricité en Allemagne étaient même supérieurs de 30 euros par mégawattheure (MWh) en moyenne à ceux enregistrés en France.

Impact sur les Ménages Français

Cette dynamique soulève des préoccupations quant à la situation des consommateurs français. Ce sont les Français qui ont financé, par leurs impôts, la construction des centrales nucléaires et qui se retrouvent maintenant à payer au prix fort.

Alors que les Français ont financé des infrastructures nucléaires avec la promesse d'une énergie bon marché, ils se retrouvent désormais à payer des tarifs élevés, alors que leur électricité est exportée à des tarifs préférentiels à l'Allemagne.

D'ailleurs une énergie peu cher est utile pour l'industrie Française qui pourra exporter a meilleur prix en étant plus compétitif.

Conclusion

La situation actuelle de l'énergie électrique en France, ainsi que l'exportation vers l'Allemagne, soulève des questions importantes sur la justice sociale et économique. Les décisions politiques et les accords énergétiques pris durant cette période devront être réévalués pour protéger les intérêts des consommateurs français. La nécessité d'une approche équilibrée et équitable pour le marché de l'énergie devient de plus en plus pressante.

TAIR Marc

Énergie Électrique en France - Les clients Français se sont fait voler - 122024
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Santé, gabegie et malades laissés a l'abandon par le gouvernement Français - 112024

Publié le par tair marc

Gabegie, la santé en France va mal :

La baisse du budget de la Sécurité sociale, ainsi que la réduction du nombre de lits et des moyens alloués aux hôpitaux, aux urgences et au SAMU, soulèvent des inquiétudes majeures quant à la qualité des soins dans notre pays. Cette situation met clairement en péril la santé de nos concitoyens. En effet, "on ne peut pas sans cesse faire payer les malades un problème de budget global d'un pays, les citoyens ont droit à être soignés convenablement".

Malgré des taux d'imposition en hausse et une dette souveraine importante, il est essentiel de considérer que les économies réalisées aujourd'hui pourraient entraîner des coûts bien plus élevés à l'avenir. En négligeant les besoins sanitaires de la population, nous risquons d'affronter des crises sanitaires majeures, rendant notre pays incapable de soigner efficacement ses citoyens et de combler les manques matériels et humains qui se creusent.

Le droit à la santé est en réalité déjà financé par l'impôt, et il est impératif que le gouvernement assure et protège ce droit fondamental pour tous. De plus, il est crucial de cesser de fusionner des hôpitaux dans un souci d'économies, car cela réduit la capacité d'accueil et le temps consacré aux soins des urgences et des malades. La gabegie médicale doit prendre fin.

Il est temps de réévaluer les priorités budgétaires pour garantir que chaque citoyen puisse bénéficier d'un accès à des soins de qualité, en évitant de faire attendre parfois 10h aux urgences, c'est une honte, et ceci afin de préserver la santé publique et de prévenir des crises futures. Les choix d'aujourd'hui détermineront la qualité de vie de demain.

D'ailleurs les malades d'aujourd'hui sont aussi les travailleurs d’aujourd’hui, ajouté aux retraités, aux enfants etc... Ne pas apporter du temps et des moyens aux travailleurs malades, blessés, ... est une faute majeure, ne pas apporter les moyens à nos concitoyens c'est voler leurs cotisations salariales et leurs impôts.

TAIR Marc

Santé, gabegie et malades laissés a l'abandon par le gouvernement Français - 112024
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La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens ! 102024

Publié le par tair marc

La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens

La question de la dette publique en France est devenue un sujet de préoccupation majeur, surtout avec les récentes décisions du gouvernement, qui semblent s’en prendre aux économies des citoyens, notamment par le biais de la taxation des assurances vie. Ces choix fiscaux, qui incluent le fait de réfléchir à l'opportunité  de taxer les chiens, mettent en lumière une gestion financière déconcertante qui reflète des années de décisions hasardeuses.

Il est devenu évident que les gouvernements successifs, ont échoué à maîtriser leurs dépenses. Ils ont dépensé sans compter, dépassant continuellement les recettes que Bercy parvient à collecter. Ce manque de discipline financière se traduit par un endettement croissant, laissant les citoyens porter le fardeau de cette impréparation. Les citoyens, et la fonction publique n'y sont pour rien sur ces dépenses hasardeuses décidées au plus haut niveau.

Ce n’est pas assez d’être réactif d’année en année ; le gouvernement doit adopter une vision à long terme, planifiant ses dépenses et ses recettes sur des périodes de 7, 10 ou même 15 ans. Une telle approche permettrait de créer un cadre stable pour l'économie française, en favorisant la croissance durable et en assurant une gestion responsable des finances publiques. Au lieu de cela, nous assistons à des décisions à court terme, parfois à l’opposé de ce qui a été fait un an plus tôt, qui aggravent la situation économique sans offrir de solutions concrètes.

Pour sortir de ce cycle déplorable, l'État doit se concentrer sur des actions qui encouragent la production et la productivité. Cela implique d’aider les entreprises à embaucher et à se développer, tout en s'assurant qu'elles paient des impôts sur leurs bénéfices, non pas sous la forme de taxes alourdissantes, mais comme une contribution à un avenir économique prospère. La prospérité des entreprises se traduit par des emplois, des revenus et, par conséquent, des recettes fiscales durables pour l'État.

Il est impératif que le gouvernement cesse de faire payer les citoyens français, qui constatent une diminution constante du retour sur leurs impôts. Les services publics, censés être le reflet d'un système fiscal équitable, se détériorent, voire disparaissent. Faire peser ces charges sur les épaules des Français sans un plan clair pour l'avenir est une véritable incompétence.

L'État doit élaborer un plan structuré et visionnaire pour l'avenir de la France, prenant en compte le PIB, la production et ses recettes. Les citoyens méritent un gouvernement qui pense à long terme et qui agit pour améliorer leur quotidien, et non un gouvernement qui se contente de décider des mesures fiscales sans réelle vision.

Il est temps de dire stop au hold-up dans la poche des citoyens français. La responsabilité et la transparence doivent devenir des priorités pour notre gouvernement, afin de restaurer la confiance et de garantir un avenir meilleur pour tous. Le système va se gripper et la poche des Français ce vide.

TAIR Marc

La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens ! 102024
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