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politique

Énergie Électrique en France - Les clients Français se sont fait voler - 122024

Publié le par tair marc

Énergie Électrique en France : Évolution des Prix en France et Exportations vers l'Allemagne

L'énergie électrique en France est un sujet d'actualité qui soulève de nombreuses questions, notamment en ce qui concerne son prix et son impact sur les ménages français.

En 2023, le prix de l'électricité a atteint environ 0,20 à 0,25 € par kilowatt-heure (kWh), en forte augmentation par rapport à 2013, où il se situait autour de 0,12 à 0,15 € par kWh.

En 2003, le prix était encore plus bas, autour de 0,08 à 0,10 € par kWh. Ainsi, en 20 ans, les ménages français ont vu leurs factures d'électricité multiplier par plus de trois, passant d'environ 50-70 € par mois à plus de 150 € en 2023.

Contexte de la Transition Énergétique

Durant la période de la pandémie de COVID-19 et en raison de la guerre en Ukraine, l'Allemagne a dû intensifier ses importations d'électricité, notamment en provenance de France. En raison de sa dépendance au gaz et au charbon russes, Berlin a cherché à diversifier ses sources d'énergie, et la France, avec sa forte capacité de production nucléaire, est devenue un fournisseur clé.

Chiffres Clés sur les Exportations

Selon des rapports médiatiques, en 2022, la France a exporté environ 60 TWh d'électricité vers l'Allemagne, soit près de 10 % de la consommation totale d'électricité allemande. En période de forte demande en Allemagne, la France a souvent fourni de l'électricité à des coûts qui, bien qu'en augmentation, restaient souvent plus compétitifs que ceux du marché allemand en période de crise énergétique. En avril 2023, les prix de l'électricité en Allemagne étaient même supérieurs de 30 euros par mégawattheure (MWh) en moyenne à ceux enregistrés en France.

Impact sur les Ménages Français

Cette dynamique soulève des préoccupations quant à la situation des consommateurs français. Ce sont les Français qui ont financé, par leurs impôts, la construction des centrales nucléaires et qui se retrouvent maintenant à payer au prix fort.

Alors que les Français ont financé des infrastructures nucléaires avec la promesse d'une énergie bon marché, ils se retrouvent désormais à payer des tarifs élevés, alors que leur électricité est exportée à des tarifs préférentiels à l'Allemagne.

D'ailleurs une énergie peu cher est utile pour l'industrie Française qui pourra exporter a meilleur prix en étant plus compétitif.

Conclusion

La situation actuelle de l'énergie électrique en France, ainsi que l'exportation vers l'Allemagne, soulève des questions importantes sur la justice sociale et économique. Les décisions politiques et les accords énergétiques pris durant cette période devront être réévalués pour protéger les intérêts des consommateurs français. La nécessité d'une approche équilibrée et équitable pour le marché de l'énergie devient de plus en plus pressante.

TAIR Marc

Énergie Électrique en France - Les clients Français se sont fait voler - 122024
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Cyclistes - accident de la route - Ont-ils une responsabilité ? - 112024

Publié le par tair marc

Accidents de Cyclistes : Une Réflexion Urgente sur la Sécurité Routière devrait être faite.

La problématique des accidents de cyclistes est de plus en plus préoccupante, avec une augmentation significative des cas liés à des usagers en état d'ébriété. Si les automobilistes sont souvent désignés comme les principaux responsables de ces incidents, il est essentiel de prendre en compte que de nombreux accidents impliquent des cyclistes qui, par négligence, enfreignent le code de la route.

Les statistiques montrent que beaucoup de ces accidents surviennent sans intervention d'un autre véhicule, ou impliquent seulement d'autres cyclistes. Dans ces situations, il est crucial de ne pas systématiquement accuser les automobilistes, mais plutôt d'examiner le comportement des cyclistes eux-mêmes. L'alcool, souvent en jeu, altère considérablement leurs réflexes et leur capacité à évaluer les risques, ce qui augmente le nombre de chutes dramatiques.

Le docteur Christophe Cermolacce, chirurgien orthopédiste à l’Institut de la cheville et du pied à Paris, alerte sur les conséquences sévères que peuvent subir les cyclistes après un accident. Les traumatismes crâniens, les torsions, les luxations et les fractures sont des blessures courantes qui peuvent avoir des impacts durables sur la vie des victimes. Comme il le souligne, ces accidents peuvent entraîner des séquelles qui affecteront les patients bien avant l'âge de 50 ans, avec des interventions chirurgicales, parfois lourdes, comme des prothèses ou des blocages articulaires.

Il est donc urgent que ce phénomène soit pris en compte dans le débat public et politique. Les pouvoirs publics doivent promouvoir des campagnes de sensibilisation sur les dangers de la conduite à vélo sous l'influence de l'alcool et sans respect du code de la route. Des mesures plus strictes concernant le comportement des cyclistes et une meilleure éducation au code de la route pourraient réduire le nombre d'accidents et protéger les usagers vulnérables, l'usage d'un deux roue a ce jour n'est pas lié à la connaissance du code.

De plus, il est nécessaire de renforcer la coopération entre les différents acteurs de la sécurité routière, afin de développer des solutions efficaces et adaptées. La responsabilisation des cyclistes doit devenir une priorité, tout comme l'amélioration de l'infrastructure routière pour garantir la sécurité de tous les usagers, qu'ils soient en voiture, à vélo ou à pied.

Il existe a Paris des rues exclusives au vélo mais même là il y a de nombreux accident de cyclistes.

Dans cette optique, il est vital d'informer et d'éduquer les cyclistes sur les risques associés à l'alcool et sur les comportements sûrs à adopter. Seule une action collective et coordonnée pourra permettre de faire face à ce problème croissant et de préserver la sécurité de tous sur la route.

TAIR Marc

Cyclistes - accident de la route - Ont-ils une responsabilité ? - 112024
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La France Insoumise en Danger ? Inquiétude d'un déclassement politique - 112024

Publié le par tair marc

La France Insoumise en Danger : L'inquiétude d'un Déclassement Politique

La France Insoumise (LFI), sous la direction de Jean-Luc Mélenchon, se trouve à un tournant décisif alors que des discussions se profilent au sein de la gauche française pour une éventuelle candidature unique aux prochaines élections. Le Parti Socialiste (PS), en quête de rétablir son influence, envisage une stratégie qui pourrait marginaliser LFI, suscitant une véritable colère au sein du mouvement insoumis. Un colère doublée d'une inquiétude réelle.

Dans ce contexte de tensions croissantes, Jean-Luc Mélenchon a proposé une alternative audacieuse : la formation d'une "union des gauches" avec un candidat LFI en tête. Cependant, cette stratégie apparaît plus comme une tentative désespérée de maintenir la pertinence de LFI dans un paysage politique en mutation, où la peur d'un déclassement électoral devient de plus en plus palpable.

Les membres de LFI craignent réellement que leur mouvement, qui a su mobiliser une base électorale significative lors des dernières élections, ne soit relégué au second plan par une manœuvre qui pourrait redéfinir la gauche sans leur participation. Cette inquiétude ne repose pas seulement sur des considérations de pouvoir, mais sur une crainte profonde de perdre leur voix dans les décisions cruciales qui façonnent l'avenir politique français.

En effet, la possibilité de se retrouver en dehors des arènes de pouvoir, sans représentation adéquate, hante LFI, ce qui explique les mouvements et paroles vindicatifs de leur part. Les élections à venir s'annoncent déterminantes, et chaque voix perdue pourrait signifier un pas de plus vers l'effritement de leur influence. Alors que les discussions se poursuivent, la question se pose : la gauche peut-elle réellement s’unir sans reconnaître la légitimité de chaque acteur, y compris LFI ? Le PS est il au bon moment pour pour revenir en tête de la gauche ?

Cette situation souligne les tensions et l'urgence d'un dialogue et des prises d'audaces au sein de la gauche. LFI, en proposant une union autour de son propre candidat, manifeste sa détermination à ne pas céder de terrain, à refuser tout dialogue et à défendre son positionnement face à une potentielle érosion de leur pouvoir.

L'inquiétude de LFI de se voir déclassée politiquement et électoralement est donc légitime, mais n'en sont ils pas responsable ?

TAIR Marc

La France Insoumise en Danger ? Inquiétude d'un déclassement politique - 112024

Publié dans actualités, politique

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La colère agricole et le Mercosur - 112024

Publié le par tair marc

En France les agriculteurs sont confrontés à un marché globalisé de plus en plus concurrentiel, ils se sentent souvent acculés à des mesures de protestation drastiques, telles que les blocages routiers. L'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, qui englobe des pays comme le Brésil et l'Argentine, est particulièrement critiqué. Les agriculteurs estiment que cet accord favorise l'importation de produits agricoles à bas prix, dont les standards de production ne respectent pas les normes environnementales et sanitaires rigoureuses en vigueur en Europe, ce qui est en effet un problème.

Cette situation soulève des inquiétudes quant à la pérennité de l'agriculture européenne en particulier en France, qui doit composer avec des produits importés qui peuvent être moins chers, souvent en raison de coûts de production plus faibles dans ces pays. Par conséquent, cela met une pression supplémentaire sur les revenus des agriculteurs français, qui se retrouvent dans une situation de désavantage concurrentiel. Beaucoup d'entre eux ont du mal à couvrir leurs coûts de production, ce qui a conduit, en 2023, à un nombre alarmant de dépôts de bilan. Selon les données disponibles, près de 2 000 fermes ont été contraintes de fermer leurs portes l'an dernier, un chiffre qui illustre la crise profonde que traverse le secteur agricole.

De plus, le sentiment d'abandon par le gouvernement est palpable. Les agriculteurs estiment qu'ils ne bénéficient pas d'une défense adéquate face aux défis imposés par la mondialisation. Malgré les promesses de soutien et de protection, beaucoup trouvent que les mesures mises en place sont insuffisantes pour réellement contrer les effets néfastes de l'importation de produits moins chers. Laisser venir des produits en UE qui ne respectent pas les normes européennes est inacceptable, ceci est un préalable a toute acceptation du Mercosur.

Des think tanks et des journalistes se sont récemment penchés sur cette problématique. Par exemple, des rapports de l'Institut Montaigne et des articles dans des médias tels que "Le Monde" et "Libération" ont mis en lumière les défis auxquels font face les agriculteurs. Ces analyses plaident pour une réévaluation des politiques commerciales de l'UE et un soutien accru pour les agriculteurs afin de garantir la durabilité de l'agriculture européenne.

« On se demande pourquoi le gouvernement refuse depuis de nombreuses années de défendre les agriculteurs, malgré les signaux de mécontentement, et pourquoi il se réveille seulement après un mouvement de blocage pour reprendre le message. Sont-ils vraiment convaincus de la nécessité de les aider avec la force requise pour changer le contrat du Mercosur ? »

TAIR Marc

La colère agricole et le Mercosur - 112024
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Jours de Carences et arrêts maladies, les fonctionnaires doivent ils passer à 3 jours comme le privé ? - 102024

Publié le par tair marc

Jours de Carences et arrêts maladies, les fonctionnaires doivent ils passer à 3 jours comme le privé ?
Comparatif des arrêts maladie entre la fonction publique et le secteur privé :

Les statistiques montrent qu'en moyenne, les fonctionnaires, selon leur catégorie (État, santé et collectivités), ont des taux d'arrêts maladie qui ne sont pas significativement plus élevés que ceux observés dans les TPE, PME et grandes entreprises. En effet, les données indiquent que le nombre de jours d'arrêt par an varie peu entre ces catégories. Par exemple, les fonctionnaires peuvent avoir en moyenne 10 à 12 jours d'arrêt par an, tandis que dans le secteur privé, cette moyenne oscille entre 7 et 15 jours, selon la taille de l'entreprise. Les secteurs du privé ayant le plus grand nombre de jours d'arrêt sont souvent ceux de la santé et de l'industrie, où les travailleurs peuvent atteindre jusqu'à 20 jours d'arrêt par an soit plus que la moyenne des fonctionnaires et ceci en raison des conditions de travail particulièrement exigeantes.

Réglementation et conditions des arrêts maladie :

Il convient de rappeler que la prise en charge des arrêts maladie pour les fonctionnaires est différente de celle des salariés du privé. En effet, pour les fonctionnaires, les arrêts maladie sont couverts par des mutuelles, ce qui représente un coût supplémentaire. En moyenne, un fonctionnaire peut cotiser entre 300 et 600 € par an pour sa mutuelle, en fonction des garanties choisies. À l'inverse, dans le privé, les arrêts maladie sont pris en charge par la CPAM, allégeant ainsi le poids financier sur le salarié.

Jour de carence et gestion des congés :

La question du jour de carence en cas d'arrêt maladie est également cruciale. Actuellement, les fonctionnaires ont un jour de carence, tandis que dans le secteur privé, certaines grandes entreprises prennent en charge 2 à 3 jours de carence par leurs mutuelles, ils ont donc en réel un jour de carence. Proposer d'augmenter le jour de carence des fonctionnaires à 3 jours serait une mesure injuste qui ne prendrait pas en compte les spécificités de leur statut et des cotisations qu'ils versent. Cela pourrait aussi aggraver la situation de fatigue accumulée qui, dans de nombreux cas, limite leur capacité à poser des congés. Les Compte Épargne Temps (CET) souvent pleins des fonctionnaires en sont une illustration : de nombreux agents n'ont pas pu prendre leurs congés, ce qui contribue à une hausse des arrêts maladie. Donc le fait de dire que le privé à 3 jours de carences n'est totalement vrai, et par pour tous, certains n'ont qu'un jour et sans surcout personnel.

Impact sur les forces de l'ordre et le personnel de santé :

Les forces de l'ordre et les personnels de santé subissent également une pression considérable en matière de charge de travail. En moyenne, ces professionnels travaillent souvent plus de 42 heures par semaine, particulièrement lors d'événements d'envergure tels que les Jeux Olympiques, où les restrictions sur les congés ont été significatives. Les agents ont dû faire preuve d'une disponibilité exceptionnelle, avec des jours de présence à 100 % pendant des périodes critiques, ce qui a amplifié le stress et la fatigue. La gestion des congés pour ces catégories de fonctionnaires est souvent complexe, rendant difficile le maintien d'un équilibre sain entre vie professionnelle et vie personnelle.

Contexte des arrêts maladie durant la pandémie :

Il est également important de noter qu'au cours des cinq dernières années, la charge financière liée aux arrêts maladie a été particulièrement impactée par la pandémie de COVID-19. En effet, cette période a représenté environ 25 % des arrêts maladie en France, contribuant ainsi de manière significative à l’augmentation des dépenses de la CPAM et, par conséquent, à une dette importante pour le système de santé. Ces chiffres soulignent la nécessité de prendre en compte les circonstances exceptionnelles qui ont affecté la santé publique et la charge de travail des fonctionnaires.

Reconnaissance et respect des fonctionnaires :

Il est également important de noter qu'au cours des cinq dernières années, la charge financière liée aux arrêts maladie a été particulièrement impactée par la pandémie de COVID-19. Cette période a représenté environ 30 % des arrêts maladie en France sur les 5 dernières années ce qui n'est pas rien, contribuant ainsi de manière significative à l’augmentation des dépenses de la CPAM et, par conséquent, à une dette importante pour le système de santé. Ces chiffres soulignent la nécessité de prendre en compte les circonstances exceptionnelles qui ont affecté la santé publique et la charge de travail des fonctionnaires.

Conclusion :

En tant que représentant du Mouvement Politique et Gaulliste : Union du Peuple Français, je tiens à rappeler que les fonctionnaires méritent reconnaissance et respect pour leur dévouement au service public. Plutôt que de réduire leurs droits, il est primordial de renforcer les moyens humains dans les services publics, d'améliorer l'attractivité des métiers et de garantir des conditions de travail dignes. Les économies à réaliser ne devraient pas se faire au détriment de ceux qui œuvrent chaque jour pour le bien-être de la population.

Il est temps de valoriser le travail des fonctionnaires et de reconnaître les défis qu'ils relèvent chaque jour, tout en promouvant une gestion humaine et responsable des services publics. En effet ont ne peut penser a augmenter le nombre de jours de carence sans avoir évolué l'impact ni fait une meilleur gestion du personnel, en apportant dans les services concernées le nombre de personnel requis, si dans certaines catégories ont trop de personnels cela n'est pas vrai partout, un manque important d'agents est constaté.

TAIR Marc

Secrétaire général adjoint

Union du peuple Français

Jours de Carences et arrêts maladies, les fonctionnaires doivent ils passer à 3 jours comme le privé ? - 102024

Publié dans actualités, finance, politique

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La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens ! 102024

Publié le par tair marc

La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens

La question de la dette publique en France est devenue un sujet de préoccupation majeur, surtout avec les récentes décisions du gouvernement, qui semblent s’en prendre aux économies des citoyens, notamment par le biais de la taxation des assurances vie. Ces choix fiscaux, qui incluent le fait de réfléchir à l'opportunité  de taxer les chiens, mettent en lumière une gestion financière déconcertante qui reflète des années de décisions hasardeuses.

Il est devenu évident que les gouvernements successifs, ont échoué à maîtriser leurs dépenses. Ils ont dépensé sans compter, dépassant continuellement les recettes que Bercy parvient à collecter. Ce manque de discipline financière se traduit par un endettement croissant, laissant les citoyens porter le fardeau de cette impréparation. Les citoyens, et la fonction publique n'y sont pour rien sur ces dépenses hasardeuses décidées au plus haut niveau.

Ce n’est pas assez d’être réactif d’année en année ; le gouvernement doit adopter une vision à long terme, planifiant ses dépenses et ses recettes sur des périodes de 7, 10 ou même 15 ans. Une telle approche permettrait de créer un cadre stable pour l'économie française, en favorisant la croissance durable et en assurant une gestion responsable des finances publiques. Au lieu de cela, nous assistons à des décisions à court terme, parfois à l’opposé de ce qui a été fait un an plus tôt, qui aggravent la situation économique sans offrir de solutions concrètes.

Pour sortir de ce cycle déplorable, l'État doit se concentrer sur des actions qui encouragent la production et la productivité. Cela implique d’aider les entreprises à embaucher et à se développer, tout en s'assurant qu'elles paient des impôts sur leurs bénéfices, non pas sous la forme de taxes alourdissantes, mais comme une contribution à un avenir économique prospère. La prospérité des entreprises se traduit par des emplois, des revenus et, par conséquent, des recettes fiscales durables pour l'État.

Il est impératif que le gouvernement cesse de faire payer les citoyens français, qui constatent une diminution constante du retour sur leurs impôts. Les services publics, censés être le reflet d'un système fiscal équitable, se détériorent, voire disparaissent. Faire peser ces charges sur les épaules des Français sans un plan clair pour l'avenir est une véritable incompétence.

L'État doit élaborer un plan structuré et visionnaire pour l'avenir de la France, prenant en compte le PIB, la production et ses recettes. Les citoyens méritent un gouvernement qui pense à long terme et qui agit pour améliorer leur quotidien, et non un gouvernement qui se contente de décider des mesures fiscales sans réelle vision.

Il est temps de dire stop au hold-up dans la poche des citoyens français. La responsabilité et la transparence doivent devenir des priorités pour notre gouvernement, afin de restaurer la confiance et de garantir un avenir meilleur pour tous. Le système va se gripper et la poche des Français ce vide.

TAIR Marc

La Dette et les Décisions Gouvernementales : Un Hold-up sur les Citoyens ! 102024
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Le Coût de l'Électricité en France et compétitivité - 102024

Publié le par tair marc

Le Coût de l'Électricité : Un Fardeau pour les Entreprises et les Particuliers

Le coût de l'électricité est devenu un enjeu majeur pour le budget des entreprises et des particuliers en France, affectant directement le pouvoir d'achat et la rentabilité des entreprises. Au fur et à mesure que les prix de l'énergie augmentent, les conséquences se font sentir à tous les niveaux de l'économie, mettant en péril la compétitivité des entreprises et le bien-être des ménages.

Une Augmentation des Coûts Énergétiques

En France, le prix moyen de l'électricité pour les ménages s'élève à environ 0,20 € par kWh, tandis que pour les entreprises, le coût peut varier en fonction des contrats et des volumes, mais il reste généralement élevé. En comparaison, voici les prix moyens de l'électricité dans d'autres pays :

  • Allemagne : Environ 0,32 € par kWh, l'un des plus élevés d'Europe, ce qui affecte la compétitivité de ses industries.
  • Belgique : En moyenne 0,28 € par kWh, également un fardeau pour les consommateurs et les entreprises.
  • Pays-Bas : Environ 0,26 € par kWh.
  • Italie : Environ 0,24 € par kWh.
  • Suède : Environ 0,17 € par kWh, un tarif moins élevé grâce à une production d'énergie largement renouvelable.
  • États-Unis : Environ 0,13 € par kWh, bien que cela puisse varier considérablement d'un État à l'autre.
  • Canada : Environ 0,08 € par kWh, en raison de l'abondance des ressources hydroélectriques.

Ces différences de prix révèlent un écart significatif qui peut impacter la compétitivité des entreprises françaises sur le marché international, tout en pesant sur le pouvoir d'achat des ménages.

Impact sur le Pouvoir d'Achat et la Rentabilité des Entreprises

Le coût élevé de l'électricité constitue un véritable frein pour le pouvoir d'achat des ménages. Avec des factures d'électricité qui pèsent de plus en plus lourd dans le budget familial, de nombreux Français voient leur capacité à consommer diminuer. Les ménages doivent redéfinir leurs priorités budgétaires, ce qui entraîne une baisse des dépenses dans d'autres secteurs, impactant ainsi la croissance économique.

Pour les entreprises, en particulier les PME et PMI, les coûts énergétiques élevés peuvent réduire leur rentabilité. Les marges bénéficiaires s'érodent alors que le coût de production augmente. Selon certaines études, la hausse des prix de l'électricité pourrait entraîner une perte de 0,3 à 0,5% du PIB français à long terme si aucune action n'est entreprise pour stabiliser les prix. Ceci est corroboré par des économistes comme Jean-Marc Daniel et des analyses récentes de l’Institut Montaigne, qui soulignent que les prix d'électricité trop élevés peuvent entraîner une baisse significative de l'activité économique en réduisant les investissements et l'innovation.

Une Politique Énergétique pour le Futur

Dans cette optique, il est impératif que la France adopte une politique sur les dix prochaines années visant à proposer des prix d'électricité plus bas, idéalement pour atteindre au moins les niveaux des États-Unis. Une telle mesure pourrait non seulement relancer le pouvoir d'achat des ménages, mais aussi stimuler la compétitivité des PME et PMI sur le marché international.

Si des tarifs équivalents à ceux des États-Unis étaient atteints, cela pourrait entraîner une augmentation significative du PIB, estimée à plusieurs milliards d'euros, en favorisant la consommation et l'investissement. En offrant un environnement énergétique plus compétitif, les entreprises françaises seraient mieux placées pour innover et se développer, maintenant ainsi des emplois et en créant de nouvelles opportunités. Une politique durable de baisse des prix de l'électricité pourrait également renforcer la résilience économique du pays face aux fluctuations des marchés énergétiques mondiaux.

TAIR Marc

Le Coût de l'Électricité en France et compétitivité - 102024
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L'Absence de Vision à Long Terme pour la France - 102024

Publié le par tair marc

L'Absence de Vision à Long Terme pour la France : Une Politique de Relance Insuffisante

Depuis près de quinze ans, la France semble se heurter à une stagnation économique persistante, et les politiques mises en œuvre pour relancer le pays et stimuler la production ont souvent été jugées insuffisantes. Cette situation soulève des inquiétudes quant à l'avenir économique du pays et à sa capacité à faire face aux défis contemporains.

Un Manque de Stratégie Économique

Les gouvernements successifs, malgré leurs intentions, n'ont pas su élaborer une vision à long terme capable de répondre aux enjeux de compétitivité, d'innovation et de croissance. Les mesures ponctuelles, souvent motivées par des impératifs politiques à court terme, n'ont pas réussi à créer un environnement favorable à l'essor des entreprises, en particulier des PME et PMI, essentielles à la dynamique économique.

Avec une montée des impôts sans réelle stratégie pour favoriser la production, la situation devient de plus en plus préoccupante. Imposer davantage sans stimuler l'investissement et l'innovation représente un choix non viable et dangereux pour l'économie française. Des hausses fiscales, sans mesures compensatoires pour soutenir la production, découragent les entrepreneurs et limitent les capacités d'investissement des entreprises.

Des Choix Dangereux

Les mandats de François Hollande et d'Emmanuel Macron ont été marqués par des choix économiques parfois considérés comme dangereux pour la productivité. Sous Hollande, des hausses d'impôts ont été mises en place sans un soutien adéquat à la croissance. Par exemple, la hausse de la fiscalité a contribué à une perte d'environ 0,5% du PIB par an, selon certaines estimations. De plus, le pouvoir d'achat des Français a stagné, avec une baisse de 2,5% sur la période 2012-2017, tandis que le coût de la vie continuait d’augmenter.

Sous la présidence d’Emmanuel Macron, même si certaines réformes ont été introduites, le manque de soutien ciblé pour les PME et les investissements à long terme a entraîné une baisse de la rentabilité des entreprises, passant d'un taux de rentabilité moyen d'environ 7% en 2018 à près de 5% en 2023. Les politiques fiscales ont souvent alourdi le fardeau des entreprises, rendant leur situation économique plus précaire.

Des think tanks tels que l’Institut Montaigne et la Fondation pour l'Innovation Politique ont exprimé des préoccupations similaires, signalant que la politique fiscaliste sans aide aux PME et PMI a déjà été essayée et n'a jamais donné les résultats escomptés. Pire encore, cette approche s'avère dangereuse pour la France, le PIB et le pouvoir d'achat des Français. Les conséquences de cette politique sont inquiétantes : sans un soutien efficace à la production, les risques de paupérisation de la France augmentent, affectant les classes moyennes et défavorisées.

L'Urgente Nécessité d'une Politique à Long Terme

Il est donc impératif qu'une politique à long terme axée sur la production et l'innovation soit mise en place en urgence. Cela doit inclure des incitations pour les entreprises, en particulier pour les PME et PMI, qui sont les moteurs de l'économie. Ne pas inclure un volet PIB et des mesures d'incitation dans la politique économique représente une faute politique majeure. Une telle négligence compromet non seulement la croissance économique, mais elle favorise également la dégradation du pouvoir d'achat des Français.

Ces choix d'une politique sans avenir et sans vision lointaine est une faute et démontre une incapacité a voir des idées et des connaissances du milieux industriels ainsi qu'une méconnaissance du système ratio dette/pib qui doit permettre de mieux juger un pays économiquement.

TAIR Marc

L'Absence de Vision à Long Terme pour la France - 102024
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État des Notations des Pays Européens et Leur Situation Économique Comparée à la France - 102024

Publié le par tair marc

État des Notations des Pays Européens et Leur Situation Économique Comparée à la France

Dans le contexte économique mondial, les agences de notation jouent un rôle crucial en évaluant la solidité financière des pays. Ces notations influencent non seulement la perception des investisseurs, mais aussi les coûts d'emprunt des États. Voici un aperçu de la situation de l'Allemagne, de la Belgique, de l'Italie, du Portugal, du Luxembourg et des Pays-Bas, ainsi qu'une comparaison avec la France en termes de notations, de dette et de PIB.

1. Allemagne
  • Notation : L'Allemagne bénéficie d'une notation élevée, généralement AAA par les principales agences de notation (Fitch, Moody's, S&P). Cette notation est stable et ne montre pas de signes de baisse.

  • Situation économique : En 2023, la dette publique de l'Allemagne est d'environ 2,3 trillions d'euros, représentant environ 69% du PIB. Le PIB allemand est estimé à 3,3 trillions d'euros, ce qui en fait la plus grande économie d'Europe.

2. Belgique
  • Notation : La Belgique a reçu une notation de AA ou AA-, et la notation reste stable, sans indication de baisse imminente.

  • Situation économique : La dette publique de la Belgique s'élève à environ 500 milliards d'euros, soit 105% du PIB. Le PIB belge est d'environ 470 milliards d'euros.

3. Italie
  • Notation : L'Italie a généralement une notation de BBB ou BBB-, ce qui indique un certain degré de risque. Les agences de notation signalent une vigilance accrue en raison de la dette élevée, et la notation pourrait être revue à la baisse si des mesures ne sont pas prises pour stabiliser l'économie.

  • Situation économique : La dette publique italienne est d'environ 2,7 trillions d'euros, représentant environ 150% du PIB. Le PIB italien s'élève à environ 1,8 trillion d'euros.

4. Portugal
  • Notation : Le Portugal a vu sa notation améliorer ces dernières années, atteignant BBB+. Toutefois, des défis subsistent, et les agences de notation continuent de surveiller la situation de près.

  • Situation économique : La dette publique du Portugal est d'environ 300 milliards d'euros, soit environ 120% du PIB. Le PIB portugais est d'environ 250 milliards d'euros.

5. Luxembourg
  • Notation : Le Luxembourg maintient une notation de AAA, attribuée par les principales agences. Ceci est dû à sa stabilité économique et à son faible niveau d'endettement.

  • Situation économique : La dette publique du Luxembourg est relativement faible, à environ 20 milliards d'euros, représentant seulement 24% du PIB. Le PIB luxembourgeois est d'environ 85 milliards d'euros.

6. Pays-Bas
  • Notation : Les Pays-Bas conservent une notation élevée de AAA. La situation économique est solide, et les agences de notation n'indiquent pas de risques immédiats pour le pays.

  • Situation économique : La dette publique des Pays-Bas est d'environ 400 milliards d'euros, représentant environ 55% du PIB. Le PIB néerlandais est estimé à 730 milliards d'euros.

7. France
  • Notation : La France a une notation de AA ou AA-, selon l'agence. Cette notation est stable, mais des préoccupations ont été exprimées concernant la dette croissante et les choix budgétaires.

  • Situation économique : La dette publique française s'élève à environ 3 000 milliards d'euros, représentant environ 113% du PIB. Le PIB français est d'environ 2,65 trillions d'euros.

Comparaison
  1. Notations :

    • L'Allemagne et le Luxembourg se distinguent avec une notation AAA, tandis que la France et la Belgique ont une notation de AA. L'Italie et le Portugal se trouvent à des niveaux inférieurs (BBB et BBB+ respectivement).
  2. Situation de la Dette :

    • La France, avec une dette de 113% du PIB, est en position moins favorable que l'Allemagne (69%) et les Pays-Bas (55%). L'Italie et le Portugal présentent des niveaux de dette très élevés, respectivement 150% et 120% du PIB.
    • En revanche, le Luxembourg affiche un ratio de dette exceptionnellement bas à 24% du PIB.
  3. PIB :

    • En termes de PIB, la France est la deuxième économie de la zone euro après l'Allemagne, mais son ratio de dette par rapport au PIB est préoccupant. La Belgique et le Portugal ont des PIB nettement inférieurs, tandis que l'Italie reste compétitive mais avec une dette très élevée.
Conclusion

Dans l'ensemble, la France se situe dans une position intermédiaire par rapport aux autres pays européens examinés. Bien qu’elle ait une notation relativement stable, sa dette élevée par rapport au PIB soulève des préoccupations similaires à celles observées en Italie et au Portugal. À l'inverse, l'Allemagne et le Luxembourg affichent une solidité financière supérieure. Pour améliorer sa situation, la France devra adopter des politiques budgétaires prudentes visant à réduire sa dette tout en stimulant la croissance économique.

TAIR Marc

État des Notations des Pays Européens et Leur Situation Économique Comparée à la France - 102024
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La Dette Française et ses Enjeux Économiques - 102024

Publié le par tair marc

La Dette Française et ses Enjeux Économiques

La dette publique française a atteint des niveaux préoccupants au cours des dernières années. En 2023, la dette publique s'élevait à environ 3 000 milliards d'euros, représentant environ 113% du PIB. Ce ratio élevé constitue un indicateur alarmant de la fragilité financière du pays, surtout dans un contexte économique mondial incertain.

Le Manque d'Investissement et le Rôle des PME-PMI

Un des principaux problèmes auxquels la France fait face est le manque d'investissement dans la production et le soutien aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux petites et moyennes industries (PMI). Alors que d'autres pays, notamment l'Allemagne et les États-Unis, encouragent l'innovation et l'entrepreneuriat, la France a souvent été critiquée pour sa lenteur à soutenir ces secteurs cruciaux. Par exemple, la part des PME dans la création d'emplois en France est en déclin par rapport à des pays comme l'Allemagne, où les PME représentent environ 70% des emplois. En France, ce chiffre est d'environ 57% et continue de stagner.

Le coût du manque d'investissement dans les PME-PMI est estimé à environ 40 milliards d'euros par an, à travers la perte d'opportunités de croissance, des emplois non créés et une productivité stagnante. Il est également à noter qu’environ 100 000 emplois sont perdus chaque année en France en raison de la fermeture d'entreprises, de la délocalisation et d'un manque d'innovation. Si la France investissait davantage dans ces entreprises dynamiques, cela pourrait entraîner une augmentation significative de la croissance économique.

L'Aide à l'Ukraine et dans le Monde

Depuis le début du conflit en Ukraine, la France a fourni une aide significative, estimée à plus de 1,5 milliard d'euros en soutien militaire, humanitaire et économique. Cette aide, bien que nécessaire pour soutenir un allié en détresse et défendre les valeurs démocratiques, a des répercussions sur le budget national et, par extension, sur la dette publique.

En outre, la France consacre environ 0,4% de son PIB à l'aide internationale, incluant les pays en voie de développement. En 2023, cela représente environ 12 milliards d'euros destinés à différents programmes d'aide, dont une part importante est allouée à des pays en crise ou en développement. Si ces aides sont justifiées d'un point de vue humanitaire, elles pèsent lourdement sur un budget déjà en déséquilibre.

La Situation Budgétaire et de Service Public

Au regard de ces dépenses, la France se retrouve dans une position de faiblesse budgétaire. Les choix de gestion, tels que l'augmentation des dépenses de défense et d'aide internationale, ont entraîné une pression supplémentaire sur le budget national. L'incapacité à investir suffisamment dans la production locale et le soutien aux PME-PMI a également conduit à une dépendance accrue vis-à-vis des importations, fragilisant ainsi l'économie nationale.

Investissements Nécessaires pour l'Avenir

Pour inverser cette tendance et soutenir efficacement les PME-PMI, la France devrait envisager d'investir au moins 20 milliards d'euros par an dans des programmes d'aide et de subventions ciblés pour ces entreprises. En comparaison, si la France réaffectait 0,4% de son PIB (soit environ 12 milliards d'euros) vers l'innovation et la production dans le secteur des PME-PMI, cela pourrait avoir des effets significatifs.

  1. Impact sur l'Emploi : Un investissement de 12 milliards d'euros dans le secteur de l'innovation et des PME-PMI pourrait permettre l'embauche d'environ 200 000 à 250 000 nouveaux salariés par an. Cela représenterait une augmentation de l'emploi dans ce secteur de 3 à 4% par an, contribuant ainsi à réduire le chômage et à dynamiser l'économie locale.

  2. Impact sur le PIB : Ces embauches pourraient générer un impact positif sur le PIB. Selon des estimations, chaque nouvel emploi dans le secteur des PME pourrait rapporter environ 50 000 euros par an en valeur ajoutée. Ainsi, avec 200 000 nouvelles créations d'emplois, cela représenterait un apport supplémentaire au PIB d'environ 10 milliards d'euros par an. Si l'on considère également les effets d'entraînement sur d'autres secteurs, le PIB pourrait bénéficier d'une augmentation totale d'environ 15 milliards d'euros par an.

Gains sur 10 Ans

Sur une période de 10 ans, ces politiques d'investissement pourraient générer :

  • Emplois créés : Environ 2 millions à 2,5 millions de nouveaux emplois.
  • Impact total sur le PIB : Environ 150 milliards d'euros à 200 milliards d'euros supplémentaires sur la période, en tenant compte des effets d'entraînement.
  • Ratio dette/production : En passant d'un ratio de 113% à approximativement 100%, si ces mesures permettent une croissance soutenue de l'économie et que la dette reste stable.
Amélioration de la Santé des PME-PMI et Fiscalité

La santé des PME-PMI s'améliorerait considérablement avec un soutien accru. Avec ces politiques, l'impôt sur les bénéfices des entreprises pourrait également être favorablement impacté. En générant plus de bénéfices grâce à une hausse d'activité, les PME-PMI pourraient contribuer à des recettes fiscales accrues pour l'État, renforçant les finances publiques.

Dans un horizon de 10 ans, si la France adopte ces politiques, la position des PME-PMI pourrait évoluer vers un renforcement significatif de leur poids dans l'économie, avec une part de près de 65% des emplois créés dans le pays, rivalisant avec les meilleurs pays européens comme l'Allemagne.

Comparaison avec l'Espagne, le Portugal et l'Italie

La situation économique de la France est d’autant plus préoccupante lorsque l’on compare la France aux pays comme l’Espagne, le Portugal et l’Italie. Bien que ces pays aient également des niveaux de dette élevés, leurs efforts récents en matière d'investissement dans les infrastructures et le soutien aux entreprises ont montré des résultats positifs. L'Espagne, par exemple, a mis en place des politiques qui favorisent l'innovation et l'entrepreneuriat, permettant une croissance rapide des PME, ce qui a directement contribué à la réduction du chômage et à l'augmentation du PIB.

Conclusion

La dette publique française, combinée à un manque d'investissement dans la production et les PME-PMI, met le pays dans une position économiquement vulnérable. Bien que l'aide humanitaire et internationale soit essentielle, la France doit réévaluer ses priorités budgétaires pour éviter de compromettre son service public et son développement économique. Les choix de gestion et d'investissement faits aujourd'hui détermineront la capacité du pays à se relever et à prospérer dans un avenir proche. Un engagement fort envers les PME-PMI pourrait non seulement renforcer l'économie nationale, mais aussi positionner la France comme un leader en innovation et en croissance durable.

 

TAIR Marc

La Dette Française et ses Enjeux Économiques - 102024
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