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Les années 1980 : Une décennie climatique contrastée - 012025

Publié le par tair marc

Les années 1980 : Une décennie climatique contrastée

La décennie des années 1980 est souvent évoquée pour ses variations climatiques marquées, qui ont profondément influencé les conditions de vie, l'agriculture, et même certaines innovations sportives. Cette période se divise en deux phases distinctes : une première moitié chaude et douce, suivie d'une seconde moitié froide et rigoureuse.

Période chaude (1979-1984)

Au début des années 1980, de nombreuses régions, notamment en Europe, ont connu des hivers relativement doux, avec des températures souvent au-dessus des moyennes saisonnières. Ce phénomène a entraîné un manque de neige dans des zones traditionnellement hivernales, comme à Paris, où la Seine et les canaux ont conservé leur liquidité. L'été 1983, en particulier, a été marqué par des vagues de chaleur, établissant des records de température dans plusieurs villes européennes. Ce climat doux a favorisé des activités de plein air, mais a aussi suscité des préoccupations concernant les impacts à long terme sur l'environnement.

Dans les Alpes, cette période chaude a altéré les conditions de ski. Les domaines skiables ont souvent souffert d'un manque de neige, forçant certaines stations à fermer ou à limiter leurs activités. Les skieurs ont dû se contenter de conditions moins idéales, et l'absence de neige a conduit à des innovations telles que l'utilisation de neige artificielle, qui a commencé à se développer à cette époque.

Période froide (1985-1989)

À partir de 1985, les hivers se sont radicalement transformés, marquant l'arrivée d'une période plus froide et rigoureuse. Les hivers de 1986-1987 ont été particulièrement notables, avec des chutes de neige importantes et des températures sévères. En janvier 1987, la Seine et certains canaux de Paris ont même gelé, un événement rare qui a eu des répercussions sur la circulation et les activités quotidiennes. Ces conditions hivernales rigoureuses ont rappelé à la population les aléas climatiques, marquant une transition frappante par rapport aux hivers doux de la première moitié de la décennie.

Dans les Alpes, cette période froide a été accueillie avec soulagement par les stations de ski, qui ont vu des chutes de neige abondantes et un retour à des conditions hivernales classiques. Les paysages enneigés ont attiré les amateurs de ski, et les stations de ski ont prospéré grâce à des conditions parfaites, permettant aux skieurs de profiter pleinement des pistes. Les températures plus froides ont également favorisé la pratique des sports d'hiver, renforçant l'attrait des Alpes comme destination touristique hivernale.

Innovations sportives

L'absence de neige pendant cette période douce a également inspiré des innovations sportives. C'est durant ces années que le VTT (vélo tout terrain) a commencé à gagner en popularité, permettant aux amateurs de cyclisme de profiter des paysages même lorsque les conditions hivernales rendaient les terrains de ski inaccessibles. De plus, le ski sur gazon a été développé comme un moyen alternatif de pratiquer le ski en été, transformant ainsi des espaces verts en pistes de glisse.

Températures moyennes

Les températures moyennes durant cette décennie ont varié :

  • Première moitié (1979-1984) : Les hivers étaient généralement doux, avec des moyennes autour de 5°C à 10°C dans certaines régions, tandis que les étés pouvaient atteindre des températures maximales de 30°C et au-delà.
  • Seconde moitié (1985-1989) : Les hivers ont durci, avec des températures pouvant descendre en dessous de 0°C, et des étés plus modérés avec des températures autour de 25°C à 30°C.
Ressources pour des données historiques

Pour obtenir des informations plus détaillées sur la météo des années 1980, vous pouvez consulter les ressources suivantes :

  • Météo France : Le site officiel propose des archives météorologiques et des rapports climatiques historiques.
  • NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) : Cette organisation dispose de bases de données climatiques mondiales qui incluent des informations historiques.
  • Institut Pierre-Simon Laplace : Ce centre de recherche en climatologie offre également des études sur les changements climatiques passés.
Un contraste bien marqué :

Les années 1980 ont été une période fascinante d'observation climatique, marquée par des contrastes extrêmes entre chaleur et froid. Ces fluctuations ont eu des impacts significatifs sur les conditions de vie, le tourisme dans les Alpes, et ont même donné naissance à des innovations sportives comme le VTT et le ski sur gazon. Ces événements sont des rappels puissants de la variabilité naturelle du climat et de son influence sur notre société. Si vous souhaitez approfondir certains aspects, n'hésitez pas à poser d'autres questions.

TAIR Marc

Publié dans actualités, ecologie

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La charge mentale, conception contestée - 012025

Publié le par tair marc

La Charge Mentale : Une Conception Contestée Sans Fondement Psychologique Solide

La notion de "charge mentale" a émergé ces dernières années comme un terme clé pour décrire le poids psychologique associé à la gestion des responsabilités domestiques et familiales, souvent attribué aux femmes. Malgré que des évolutions dans les couples ont marqué leur temps. Bien que cette idée ait trouvé un écho dans les discussions sur l'égalité des sexes et la dynamique familiale, elle fait l'objet de critiques substantielles, remettant en question son fondement psychologique et son utilité dans le débat public.

Des experts comme le psychiatre Christophe André soulignent que la charge mentale peut parfois trop se concentrer sur des préoccupations individuelles, sans tenir compte des dynamiques de couple et des arrangements qui existent au sein des foyers. Selon lui, réduire le phénomène à une simple étiquette peut nuire à une compréhension plus nuancée des relations familiales et des responsabilités partagées.

Élisabeth Badinter, philosophe et féministe, critique l’approche contemporaine qui entoure la notion de charge mentale, arguant qu'elle peut renforcer des stéréotypes et détourner l'attention des véritables enjeux de l'égalité des sexes. Elle met en avant l'idée que la discussion sur la charge mentale pourrait masquer les problèmes structurels et économiques qui alimentent les inégalités entre les sexes, nécessitant ainsi une approche plus globale.

De plus, Brigitte Grésy, ancienne haute fonctionnaire et auteur sur l'égalité femmes-hommes, exprime des réserves quant à la conception actuelle de la charge mentale. Elle affirme que, si la notion peut contribuer à changer la perception des responsabilités domestiques, elle ne doit pas faire oublier les dimensions économiques et sociales qui sous-tendent ces questions. En effet, la charge mentale pourrait être perçue par certains comme une simplification excessive de la complexité des arrangements familiaux.

Dans les médias, des articles publiés dans des journaux comme Le Figaro et L'Express ont également critiqué le terme "charge mentale", le qualifiant de mode qui ne rend pas justice à la réalité des défis d'égalité. Ces critiques soulignent l'importance de maintenir un débat nuancé sur les responsabilités familiales, plutôt que de se limiter à des étiquettes qui pourraient masquer des problèmes plus profonds.

Bien que la charge mentale soit reconnue par de nombreuses personnes comme un concept pertinent pour exprimer une expérience vécue, il est crucial de s'interroger sur son fondement psychologique. Les critiques de cette notion soulignent la nécessité d’une approche holistique qui tient compte des dynamiques de pouvoir, des inégalités économiques et des structures sociales qui influencent la répartition des responsabilités au sein des foyers. Ce débat ne doit pas être réduit à une simple question de charge psychologique, mais doit plutôt engager une réflexion sur les véritables enjeux de l'égalité entre les sexes et sur les réformes nécessaires pour améliorer la situation.

TAIR Marc

La charge mentale, conception contestée - 012025

Publié dans société

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Charlie Hebdo - Hyper Casher - 7 janvier le jour d'un attentat - 012025

Publié le par tair marc

Il y a huit ans, le 7 janvier 2015, la France pleurait les victimes de l'attentat contre Charlie Hebdo, un acte ignoble qui a profondément choqué notre nation et résonné au plus profond de nous même et au-delà de nos frontières.

Ce jour-là, un cri d'indignation a ébranlé la société française, un appel à défendre la liberté d'expression d'abord et à lutter contre le fanatisme. Pourtant, force est de constater qu'aujourd'hui, ce cri semble s'être estompé et que l'indignation s'est muée en un silence gêné. La liberté de s'exprimer est encore sur la sellette et le danger reste présent. Les évolutions législatives qui en ont découlé, bien que nécessaires et légitimes, apparaissent comme des mesures cosmétiques face à une réalité bien plus sombre.

La volonté politique, en particulier celle du Président de la République, semble vaciller sans sa volonté forte rien ne pourra être fait. Les discours se multiplient, les promesses s'accumulent, mais la véritable action se fait attendre : celle du Politique. L'inaction face à l'influence croissante des idéologies radicales et la banalisation des discours de haine est devenue la norme. Les "fréristes" continuent à répandre leur dogme, infiltrant une jeunesse en quête d'identité et souvent perdue.

Pendant ce temps, d'autres influenceurs déversent leur venin, attisant les tensions et alimentant une rancœur qui menace nos valeurs républicaines. Dans les rues de nos villes, la dangerosité s'est aggravée. Les mots "sentiment d'insécurité" prononcés par certains politiciens témoignent d'un décalage alarmant entre la réalité vécue par les Français et la perception de nos gouvernants.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes, mais il semble que leurs oreilles soient bouchées par un confort politique pour une réélection sans vague qui les éloigne du quotidien des citoyens. Et que dire de l'antisémitisme qui, loin de reculer, évolue et se manifeste avec une inquiétante audace ?

Les Juifs, qui devraient se sentir protégés dans un pays qui a connu l'horreur de la Shoah, se retrouvent aujourd'hui plus que jamais en danger. Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher ne sont pas des souvenirs lointains ; ils sont des rappels constants de la nécessité de rester vigilants face à la montée de la haine. Les leçons du passé semblent avoir été oubliées, emportées par un flux d'indifférence ou de déni. Le pas de vague est en vogue.

Il est temps de réveiller la mémoire collective et de raviver la flamme de la solidarité. La lutte contre le radicalisme et la haine ne doit pas être une simple déclaration d'intention, mais un engagement réel et constant.

La France mérite mieux qu'un simple souvenir de Charlie Hebdo ; elle mérite une action politique forte venant des plus hautes sphères dirigeantes, une volonté de défendre les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité, ainsi qu'au droit à la sécurité.

Les enjeux sont clairs, et il est impératif de les aborder sans détour. Le silence n'est pas une option, et il est grand temps que la classe politique prenne conscience de l'urgence de la situation.

TAIR Marc

Charlie Hebdo - Hyper Casher - 7 janvier le jour d'un attentat - 012025

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Le général de Gaulle et le journal le Monde, une affaire de liberté d'expression et crispation - 012025

Publié le par tair marc

Le Journal le Monde et le Général de Gaulle, un désamour marqué de liberté d'expression :

Le journal français Le Monde, fondé le 19 décembre 1944 par Hubert Beuve-Méry, a émergé dans un contexte de reconstruction après la Seconde Guerre mondiale. Le général Charles de Gaulle, en tant que figure emblématique de la France d'après-guerre, a joué un rôle déterminant dans l'histoire de ce quotidien. Il souhaitait que Le Monde devienne un acteur majeur de l'information, promouvant ainsi l'indépendance et la qualité du journalisme.

De Gaulle tenait en haute estime la liberté d'expression et la pluralité des opinions. Bien qu'il ait parfois eu des désaccords avec certaines critiques publiées dans Le Monde, il n’a jamais cherché à censurer le journal. Au contraire, il croyait fermement qu'un débat ouvert et diversifié était essentiel pour une démocratie saine, reconnaissant ainsi l'importance d'une presse indépendante comme un contre-pouvoir. Cette vision a permis à Le Monde de diffuser une pluralité d'idées, même celles en désaccord avec le pouvoir en place.

Il est également important de noter qu’Hubert Beuve-Méry a été en danger de mort en raison de son engagement dans la Résistance française. En tant que journaliste, il jouait un rôle actif dans la lutte contre l'occupation nazie, ce qui lui a valu d'être ciblé à la Libération. Grâce à l’intercession de de Gaulle, qui reconnaissait la valeur de son travail pour la démocratie et les droits de l'homme, Beuve-Méry a été protégé, lui permettant ainsi de fonder Le Monde.

En résumé, la relation entre le général de Gaulle, Le Monde, et la liberté d'expression illustre une période charnière de l'histoire française, où le soutien à une presse indépendante et à un débat pluraliste est devenu essentiel pour la démocratie. Cette dynamique a permis à Le Monde de s'imposer comme un vecteur d'informations variées et critiques, fondamental dans le paysage médiatique français.

On pourrait faire un retour sur la période que nous vivons de nos jours, car la liberté d'expression est parfois en danger en notre pays, les journaux en désaccord avec le pouvoir sont souvent gêné et marqués "complotistes" ce qui implique en finalité une seul pensée qui est diffusée, la pensée unique est la norme. Les autres opinions sont stigmatisées, contrées voire empêchées.

Un peu de Gaullisme aujourd'hui rendrait un peu plus de place à la liberté d'expression, cette liberté démontre une intelligence : celle d'accepter l'avis des autres sans y adhérer voir même être vraiment contre. La pluralité d'expression est une richesse que la France a perdue.

TAIR Marc

Le général de Gaulle et le journal le Monde, une affaire de liberté d'expression et crispation - 012025

Publié dans politique

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EDF ne favorise pas ses usagers - une strategie a l'international pour le bénéfice - 012025

Publié le par tair marc

La Stratégie Énergétique de la France : Entre Exportation et Consommation Locale

La situation énergétique en France soulève des interrogations légitimes sur les priorités d'EDF et les impacts sur les consommateurs français. Avec un surplus de production d'électricité, notamment grâce à son parc nucléaire, la France a tout intérêt à vendre à ses voisins européens plutôt qu'à se concentrer sur la consommation intérieure le prix y diffère sensiblement. Cette stratégie crée une tension sur la production d'électricité en France, qui ne provient pas uniquement de la demande des usagers nationaux.

En 2023, la France a connu des niveaux sans précédent d'exportation d'électricité vers ses voisins, un fait qui témoigne de la capacité d'EDF à générer des surplus significatifs. Dans ce contexte, EDF encourage régulièrement ses usagers à réduire leur consommation, en partie pour maximiser les quantités d'électricité disponibles à l'exportation. Avec les compteurs Linky, la gestion de la consommation peut être ajustée à distance, permettant de diminuer la consommation locale lors des périodes de tension sur le réseau et d'éviter une surcharge sur réseau.

Si EDF a réussi à vendre plus d'électricité à l'étranger en 2023, il serait logique d'attendre une baisse sensible des factures des usagers français. Pourtant, la réalité est différente. Les consommateurs continuent de faire face à des prix élevés, malgré le surplus d'exportation. Ce paradoxe soulève des questions sur la transparence des tarifs et la justification des coûts pour les usagers.

Des centrales et un réseau payé par l'impôt par les Français, ce qui implique que ce sont les Français qui doivent profiter des fruits du succès et des bénéfices.

De plus, l'entretien des infrastructures électriques, notamment des câbles dans les zones rurales, laisse à désirer. Cela constitue une faute qui pourrait aggraver la situation pour les consommateurs, qui doivent supporter non seulement des factures élevées, mais aussi une fiabilité du service questionnable.

Dans l'ensemble, la stratégie d'EDF, qui favorise partiellement l'exportation au détriment de la consommation locale, pose un problème de cohérence. Les usagers français, qui contribuent à la production d'électricité, devraient voir les effets positifs de cette exportation se refléter sur leurs factures. Il est essentiel que les politiques énergétiques s'alignent sur les intérêts des consommateurs tout en garantissant la fiabilité de l'approvisionnement électrique sur l'ensemble du territoire. Une réévaluation de la stratégie d'EDF pourrait ainsi permettre de mieux répondre aux besoins des usagers tout en préservant l'intégrité du réseau électrique français.

TAIR Marc

EDF ne favorise pas ses usagers - une strategie a l'international pour le bénéfice - 012025
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Une Baisse des Ventes de Voitures Électriques : Un Coup de Frein Brutal ? 012025

Publié le par tair marc

Une Baisse des Ventes de Voitures Électriques : Un Coup de Frein Brutal ?

La récente baisse des ventes de voitures électriques en particulier en 2024 soulève de nombreuses questions sur l'avenir de la motorisation électrique. À première vue, ce retournement pourrait être perçu comme un coup de frein brutal à une transition qui semblait inéluctable. Alors que les constructeurs automobiles ont investi des millions dans cette nouvelle technologie, et aidé à la vente par les pays en offrant des aides a l'achat prélevés sur l'impôt et coûtant cher au budget de l’État et imposé par l'Union européenne, la situation actuelle pourrait bien remettre en cause cette stratégie.

Depuis plusieurs années, l'Union européenne a entrepris une transition ambitieuse vers une mobilité durable, imposant des normes strictes pour réduire les émissions de CO2 et interdire la vente de véhicules à moteur thermique dans un avenir proche. Cependant, cette approche, qui semblait progressive sur le papier, s'avère être un coup de grâce pour de nombreuses industries liées à l'automobile. En plaidant pour une interdiction brutale du thermique et en refusant d'envisager une transition progressive, l'UE a fragilisé un secteur déjà en pleine mutation.

Les millions injectés pour favoriser l'électrification des flottes de voitures semblent désormais être une gabegie, quand on observe la réalité du marché. La transition vers les véhicules électriques nécessite des infrastructures robustes, une chaîne d'approvisionnement adaptée et une acceptation des consommateurs qui n'est pas encore acquise, loin de là, il semble par certaines analyses que l’électrique aurait un marché stabilisé à 30% en moyenne. Les délais imposés par l'UE laissent peu de place à une adaptation réfléchie et mesurée, entraînant ainsi des perturbations qui pourraient avoir des conséquences durables sur l'industrie automobile et l'emploi.

Ce choc, qui pourrait sembler temporaire, risque de porter un coup fatal à de nombreux acteurs de l'industrie. Les petites entreprises, souvent déjà vulnérables, pourraient être particulièrement touchées par cette transition trop rapide. Les choix effectués par les décideurs, sans tenir compte des réalités du marché et des besoins d'une transition en douceur mais aussi sans penser que les besoins ruraux ne sont ceux de la ville, devront être comptabilisés comme une faute lourde dans leur bilan.

L'avenir de l'automobile est en jeu, et il est indispensable que les autorités prennent conscience des enjeux économiques et sociaux liés à cette transformation. La voie vers une mobilité durable doit être envisagée avec sagesse et vraiment plus lente, en tenant compte des réalités du terrain, afin d'éviter de plonger l'industrie automobile dans une crise qu'elle n'est pas préparée à affronter. La transition (partielle) vers l'électrique ne peut être qu'un succès si elle est accompagnée d'une vision pragmatique, d'un soutien adéquat aux industries et d'une écoute attentive des acteurs concernés, et donc sur le temps très long.

TAIR Marc

Une Baisse des Ventes de Voitures Électriques : Un Coup de Frein Brutal ? 012025
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"La vie n'a pas de prix" : La France doit agir lorsque le meurtre arrive en nombre - 012025

Publié le par tair marc

"La vie n'a pas de prix" : un appel à l'action contre les meurtres liés au narcotrafic et au terrorisme :

Dans un monde où la violence semble se radicaliser, ces meurtres liés au narcotrafic et au terrorisme font peser une menace pesante sur notre société et les citoyens. Chaque année, des vies sont brutalement arrachées, des familles détruites, et des communautés plongées dans la peur. Ce constat tragique ne doit pas seulement susciter l'indignation, mais aussi nous inciter à agir fortement et sans rechigner. Car si la vie n'a pas de prix, il est impératif que l'État français mette en œuvre tous les moyens nécessaires pour endiguer cette marée de violence.

Les groupes de narcotrafic, motivés par le profit, engendrent des actes de violence inouïs. En quête de pouvoir et de contrôle, ces organisations n'hésitent pas à éliminer ceux qui se dressent sur leur chemin. Les meurtres deviennent une monnaie d'échange dans un monde où l'argent prime sur l'humanité, créant un climat d'insécurité insupportable. Les attaques orchestrées par ces groupes dits radicaux plongent des villes entières dans l'angoisse et la désespérance, laissant les élus pantois.

Face à cette double menace, il est crucial que l'État français ne reste pas inactif ou béa. Il doit mobiliser des ressources humaines et juridiques conséquentes pour lutter contre ces fléaux qui s'ancrent rapidement dans une société si rien est fait. Cela inclut le renforcement des effectifs des forces de l'ordre, l'amélioration des outils de justice, ainsi que la mise en place de politiques de prévention efficaces. La lutte contre le narcotrafic et le terrorisme ne peut pas être l'affaire de quelques agents ou d'une poignée de lois ; elle nécessite une mobilisation collective et une volonté politique affirmée.

La vie n'a pas de prix, mais elle est précieuse. Chaque individu mérite de vivre en sécurité, sans craindre pour sa vie ni celle de ses proches. Ignorer cette réalité, c'est ouvrir la porte à la banalisation de la violence. L'État français doit donc agir, avec détermination et clairvoyance, pour stopper cette montée en puissance des attaques qui altèrent notre existence. Car, à la fin de la journée, c'est notre capacité à protéger la vie qui déterminera notre dignité en tant que société. Il est temps d'agir avant qu'il ne soit trop tard.

TAIR Marc

"La vie n'a pas de prix" : La France doit agir lorsque le meurtre arrive en nombre - 012025
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La France est-elle en passe de devenir un terreau d'enlèvements et de torture ? 012025

Publié le par tair marc

La France est-elle en passe de devenir un terreau d'enlèvements et de torture ?

Les récents développements au sein de groupes de narcotrafic français soulèvent des inquiétudes alarmantes car une évolution est opéré.

Ces organisations criminelles, en quête de pouvoir et d'argent, diversifient leurs activités et se tournent désormais vers l'enlèvement pour extorquer des informations sensibles ou des rançons.

Ce qui est pour l'instant des actes isolés pourrait rapidement se transformer en une véritable industrie de l'enlèvement, à l'instar de ce que nous observons en Amérique du Sud.

Face à cette menace grandissante, l'État se doit de réagir avec détermination. Il est impératif de renforcer non seulement les moyens juridiques, mais aussi les effectifs des forces de l'ordre, des services judiciaires dédiés et des infrastructures pénitentiaires.

Si ces actions sporadiques ne sont pas prises au sérieux, elles pourraient devenir une triste réalité quotidienne.

Ceci est le résultat d'une réponse judiciaire très faible ou trop juste.

TAIR Marc

La France est-elle en passe de devenir un terreau d'enlèvements et de torture ? 012025
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Mayotte en crise après la tempète Chido, mais où sont les navires : Dixmude, Tonnerre et Mistral ? -122024

Publié le par tair marc

Mayotte en crise après la tempête Chido, mais où sont les navires : Dixmude, Tonnerre et Mistral ?

Un seul serait une aide prodigieuse pour Mayotte. Mayotte, île Française de l'archipel des Comores, se trouve actuellement dans une situation de crise aiguë à la suite du passage du cyclone tropical Chido, qui a frappé le territoire le 14 décembre 2024, un vrai désastre. Avec des rafales dépassant les 200 km/h, ce cyclone a causé des destructions considérables, laissant la population dans un état de détresse extrême. Le port de Dzaoudzi, point névralgique pour les opérations de secours et de ravitaillement, a été lourdement endommagé, rendant difficile l'acheminement de l'aide.

Les besoins en eau potable, en nourriture et en soins médicaux sont critiques. Malgré la présence des secours sur place, les moyens déployés ne sont pas à la hauteur de l'ampleur de la catastrophe, même si l'effort est là. La situation sanitaire devient de plus en plus préoccupante, avec un risque accru de maladies liées au manque d'hygiène, à la malnutrition et à l'absence de soins appropriés.

Dans ce contexte, l'absence de navires d'assistance tels que le Dixmude, le Tonnerre et le Mistral soulève des questions cruciale sur la réponse logistique face à une crise humanitaire, ne pas les envoyer c'est comme remplir une bassine de 5 litres avec une cuillère a café. Ces porte-hélicoptères amphibies, conçus pour des missions de projection de forces mais également pour des interventions sanitaires, possèdent des capacités impressionnantes. Le Mistral, par exemple, peut servir d'hôpital flottant avec une infrastructure adaptée comprenant des salles d'opération, une salle de radiologie et de nombreux lits, offrant ainsi des services comparables à ceux d'un centre hospitalier pour une population de 25 000 habitants.

Ces navires sont adaptés et spécialement conçus pour une projection d'envergure et pour y installer un Hôpital pour les situations de crise.

Actuellement, l'un de ces navires est en mission en Afrique, tandis que les deux autres se trouvaient il y a peu encore à quai à Brest et Toulon. Il est impératif que des mesures d'urgence soient envisagées pour dépêcher rapidement un de ces porte-hélicoptères vers Mayotte. Ce renforcement des moyens de secours pourrait permettre d'apporter des vivres, du matériel et des soins médicaux indispensables à la population sinistrée.

L'appel à l'action est urgent : les autorités doivent envisager des solutions pour mobiliser ces ressources stratégiques afin de répondre efficacement aux besoins vitaux de la population de Mayotte. La solidarité nationale et internationale est essentielle pour faire face à cette crise et rétablir les conditions de vie dignes pour les habitants de l'île.

Ceci est un appel pour les populations de Mayotte, le Gouvernement doit faire partir un de ces navires PHA.

TAIR Marc

Mayotte en crise après la tempète Chido, mais où sont les navires : Dixmude, Tonnerre et Mistral ? -122024
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que reste t'il de notre belle France ? -122024

Publié le par tair marc

Que reste-t-il de notre grande France ?
 
Alors que notre pays traverse des périodes de plus en plus difficiles, dans certaines villes en métropole nous faisons face à des coupures d'eau et d'électricité récurrentes, à des urgences hospitalières où le filtrage devient la norme, et à une crise du logement alarmante. Des villes, jadis florissantes, se voient aujourd'hui habitées par des immeubles délabrés, menaçant de s'effondrer.
 
Quel est l'état des réseaux d'eau et électricité ? L'entretien en est il assuré ? Sans parler des locaux des policiers et des gendarmes.
 
Ces problèmes sont le fruit de choix politiques discutables depuis quarante ans, qui ont laissé notre pays à l'abandon, malgré des impôts toujours plus élevés et en constante augmentation. Que sont devenus les fruits de notre labeur ? Le retour sur impôt n'existe plus. Le Français pour ne plus rien avoir en retour : état des routes, sécurité, santé, habitat ...
 
Nous constatons une réduction significative du nombre de policiers et de gendarmes, une pénurie de soignants dans nos hôpitaux, et une justice qui se fait désespérément lente. Les services publics se font rares, et pourtant, nous continuons à payer toujours plus cher.
 
Il est impératif que nos Députés et Sénateurs prennent conscience de cette situation alarmante et agissent immédiatement. Ils doivent exiger des gouvernements qu'ils s'engagent à reconstruire notre France, à restaurer les valeurs fondamentales de solidarité et de service public qui ont fait la richesse de notre nation. Il est temps de se lever et de revendiquer un avenir meilleur pour tous en arrêtant le gaspillage.
TAIR Marc
que reste t'il de notre belle France ? -122024
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